— Regardez, dit une voix de femme, c’est elle ! C’est Amélie Poulain ! Tu te rends compte, Gégé ? Notre plus belle rencontre depuis Jean-Pierre Foucault à Ramatuelle.
— Nom de... [+]
J’avais bien tactilé dans l’encaquement de l’urbatrain que le gonze arrimé à mes flotteurs arrière s’était armaturé la machinerie façon Bouygues. Forcément, ça m’avait chaviré les circuits et encanaillé le tréfonds. Sortis du boa brinquebalant, cap vers mon clapier.
À peine encasbahutés, je lui déverrouille le carter à roubignolles et, d’une palpeuse fébrile, je lui dégage le derrick. En bonne native de La Turlurette (Nièvre), je lui pompe le loukoum d’une becteuse gourmande. Soudain, l’or blanc jaillit, aromatisé chouchen et coco. Tandis que je gastronome l’éjaculat, le gonze me brancarde dans la galipetterie, m’horizontale sur la cramouillo-berlue et entreprend de me déconditionner.
Dès que je suis apoilée, il me manocajole la laiterie, me patamodèle les amortisseurs et me bascopelote l’intérieur des bielles d’un expert paluchat. Puis il se penche sur mon atelier clandestin, avionrenifle dans le maquis et, d’une râpeuse avide, me gargamelle la commande centralisée. Je surtensionne. J’inondationne mes infrastructures. Je béante mes écoutilles. Le gonze, l’obélisque abou-simbelisée un max, se porte alors sur ma grotte. Là, il m’agace la brèche, me titille l’érecto-jouisseur, puis me boustérise l’engin dans la fosse. Le Michel-Ange du radada existe, je l’ai rencontré !
Un exploit sans lendemain, rapport au coup de sécateur. J’aime le cul, mais je déteste les frotteurs !
À peine encasbahutés, je lui déverrouille le carter à roubignolles et, d’une palpeuse fébrile, je lui dégage le derrick. En bonne native de La Turlurette (Nièvre), je lui pompe le loukoum d’une becteuse gourmande. Soudain, l’or blanc jaillit, aromatisé chouchen et coco. Tandis que je gastronome l’éjaculat, le gonze me brancarde dans la galipetterie, m’horizontale sur la cramouillo-berlue et entreprend de me déconditionner.
Dès que je suis apoilée, il me manocajole la laiterie, me patamodèle les amortisseurs et me bascopelote l’intérieur des bielles d’un expert paluchat. Puis il se penche sur mon atelier clandestin, avionrenifle dans le maquis et, d’une râpeuse avide, me gargamelle la commande centralisée. Je surtensionne. J’inondationne mes infrastructures. Je béante mes écoutilles. Le gonze, l’obélisque abou-simbelisée un max, se porte alors sur ma grotte. Là, il m’agace la brèche, me titille l’érecto-jouisseur, puis me boustérise l’engin dans la fosse. Le Michel-Ange du radada existe, je l’ai rencontré !
Un exploit sans lendemain, rapport au coup de sécateur. J’aime le cul, mais je déteste les frotteurs !
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JM