- A qui sont ces affaires ?
- A lui. Mais il est parti. Il avait à faire...
- Me voilà bien. Ça ne fait pas mon affaire.
- C’est ça, quand on a des affaires à faire.
- Bon, je sais ce qu’il me reste à faire... virer toutes ces affaires. Zou !
- Vu la quantité, ça ne va pas être une mince affaire. Courage !
- Tu l’as dit. C’est même plutôt une sale affaire. Et c’est encore moi qui vais devoir le faire.
- Ah, ah, faire... faire et défaire, c’est toujours travailler, aurait dit Hausmann.
- Tu peux rigoler, mais quand il reviendra il aura affaire à moi.
- Tu as à faire avec lui ?
- Oui. Mais là n’est pas la question. J’ai à faire avec lui mais lui aura affaire à moi.
- Je n’y comprends plus rien.
- C’est pourtant simple.
- Quelle affaire !
- A lui. Mais il est parti. Il avait à faire...
- Me voilà bien. Ça ne fait pas mon affaire.
- C’est ça, quand on a des affaires à faire.
- Bon, je sais ce qu’il me reste à faire... virer toutes ces affaires. Zou !
- Vu la quantité, ça ne va pas être une mince affaire. Courage !
- Tu l’as dit. C’est même plutôt une sale affaire. Et c’est encore moi qui vais devoir le faire.
- Ah, ah, faire... faire et défaire, c’est toujours travailler, aurait dit Hausmann.
- Tu peux rigoler, mais quand il reviendra il aura affaire à moi.
- Tu as à faire avec lui ?
- Oui. Mais là n’est pas la question. J’ai à faire avec lui mais lui aura affaire à moi.
- Je n’y comprends plus rien.
- C’est pourtant simple.
- Quelle affaire !
Si cela vous tente , je vous invite sur ma page . Peut- être que mon petit poème en finale tanka lunaire vous plairait ? Merci beaucoup .