Et j'entends le saphir craquer sur le vinyle
D'un disque presque neuf tourné vingt ou trente fois.
Je repense à ces mots... [+]
Dans cette côte immergée, il y avait un air de fin du monde. Il y avait encore quelque chose là-bas, l’univers des vivants, et puis, cette présence humaine se dissolvait peu à peu pour ne devenir que flots, rochers, néant.
Et puis soudain, plus rien, comme si l'humanité entière avait disparu de la surface du globe terrestre. Le calme plat, le silence où l'on n'entend plus une onde de cœur battre, où ne subsiste plus aucun souffle, ne reste plus que celui du vent.
Le silence est devenu cet élément nécessaire à la vie !
Un ensemble de rochers éternels, la légende des cinq Pineaux qui ont tout vu, tout connu, martelés depuis la nuit des temps par les gouttes de crachin grandissantes et deviennent gouttes de pluie, puis averses, érodés par le bruit fracassant des vagues, acharnement d’écume. Ils restent, résistent au déchaînement des éléments, séparant le monde de sa fin. Le cri du Trou du Diable...
De même, au loin, perdue dans l’immensité déserte, s’étend la ligne d’horizon, séparation céleste tracée par quelque souffle créateur dont on ne sait le nom.
Ainsi, la terre se répand en un vaste élan de liberté, si bien qu’il semblerait qu’en tendant la main, effleurant le fond de l’air du bout des doigts, on serait absorbé, digéré par l’immensité océane, étreint par le bras de la mer qui s’engouffre entre des silhouettes minérales.
C’est un paysage éternel qui s’offre à vous, et l'on aime s'y prendre.
La brise marine caresse son visage, doucement, et avant même qu’il ne s’en rende compte, il devient marin esclave des vagues, marin sans bateau mais marin quand même !
Parce qu'il a le cœur bercé par le roulis du bout du monde, l’œil du vieux loup de mer et le pied sur un pont de pierres. Il a la vie du jour le jour et la liberté qui s'appelle Infini, c’est alors qu’il devient un homme libre, infiniment et définitivement libre, un pied sur la terre ferme, et l’autre déjà rassuré par le mouvement incessant du courant. L’homme a trouvé sa mer. La mer a trouvé son homme. Se dirigeant au gré du vent et de l’esprit, il respire à nouveau...
De l'air, cet élément si précieux !!
L'homme observe en silence, la ligne bleue qui se dessine à l’horizon, ne voyant rien, rien que LA LIBERTÉ qui emplit l’air marin et qui s’étend à perte de vue...
Ignorant demain, l’après-demain, et le jour d’après.
L'homme comme l'air s'évapore dans l’essentiel !
Et puis soudain, plus rien, comme si l'humanité entière avait disparu de la surface du globe terrestre. Le calme plat, le silence où l'on n'entend plus une onde de cœur battre, où ne subsiste plus aucun souffle, ne reste plus que celui du vent.
Le silence est devenu cet élément nécessaire à la vie !
Un ensemble de rochers éternels, la légende des cinq Pineaux qui ont tout vu, tout connu, martelés depuis la nuit des temps par les gouttes de crachin grandissantes et deviennent gouttes de pluie, puis averses, érodés par le bruit fracassant des vagues, acharnement d’écume. Ils restent, résistent au déchaînement des éléments, séparant le monde de sa fin. Le cri du Trou du Diable...
De même, au loin, perdue dans l’immensité déserte, s’étend la ligne d’horizon, séparation céleste tracée par quelque souffle créateur dont on ne sait le nom.
Ainsi, la terre se répand en un vaste élan de liberté, si bien qu’il semblerait qu’en tendant la main, effleurant le fond de l’air du bout des doigts, on serait absorbé, digéré par l’immensité océane, étreint par le bras de la mer qui s’engouffre entre des silhouettes minérales.
C’est un paysage éternel qui s’offre à vous, et l'on aime s'y prendre.
La brise marine caresse son visage, doucement, et avant même qu’il ne s’en rende compte, il devient marin esclave des vagues, marin sans bateau mais marin quand même !
Parce qu'il a le cœur bercé par le roulis du bout du monde, l’œil du vieux loup de mer et le pied sur un pont de pierres. Il a la vie du jour le jour et la liberté qui s'appelle Infini, c’est alors qu’il devient un homme libre, infiniment et définitivement libre, un pied sur la terre ferme, et l’autre déjà rassuré par le mouvement incessant du courant. L’homme a trouvé sa mer. La mer a trouvé son homme. Se dirigeant au gré du vent et de l’esprit, il respire à nouveau...
De l'air, cet élément si précieux !!
L'homme observe en silence, la ligne bleue qui se dessine à l’horizon, ne voyant rien, rien que LA LIBERTÉ qui emplit l’air marin et qui s’étend à perte de vue...
Ignorant demain, l’après-demain, et le jour d’après.
L'homme comme l'air s'évapore dans l’essentiel !
La côte Vendéenne, mes vacances de jeunesse ! Sion sur Océan, St Hilaire, St Gilles... De belles balades au bord de mer.... Je vous invite à respirer un air de Mer, un air de liberté pour combler votre envie d'évasion ❤️
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Bonne balade et merci à vous pour votre visite 🌟🌹