Dans mon jardin inventé
Il y a des allées bordées de persil,
De romarin, de basilic,
Et de quelques uns de mes... [+]
Etait-ce une vision ce rêve, une chimère ?
M'est apparue la vie, telle qu'elle était naguère.
Surgissant du passé, mon aïeul dessinait
Une terre amendée, le monde était parfait.
Des forêts, des gazelles, la rivière était pure,
Les oiseaux survolaient les bois tout en verdure,
La mer était au bleu, les plages bien dorées,
L'océan souriait aux îles enchantées.
Le sable du désert donnait du blé fertile,
Les jardins répandaient une odeur subtile,
Plus de faim ni de pleurs, au diable la misère,
Que des frères qui s'aimaient, sans aucune frontière.
Etait-ce le paradis, ou bien le bout du monde ?
Non, c'était notre terre, perpétuant sa ronde.
N'était-ce qu'un mirage ? un espoir pour demain ?
Oh ! mon rêve s'enfuit ! je l'apostrophe... en vain.
M'est apparue la vie, telle qu'elle était naguère.
Surgissant du passé, mon aïeul dessinait
Une terre amendée, le monde était parfait.
Des forêts, des gazelles, la rivière était pure,
Les oiseaux survolaient les bois tout en verdure,
La mer était au bleu, les plages bien dorées,
L'océan souriait aux îles enchantées.
Le sable du désert donnait du blé fertile,
Les jardins répandaient une odeur subtile,
Plus de faim ni de pleurs, au diable la misère,
Que des frères qui s'aimaient, sans aucune frontière.
Etait-ce le paradis, ou bien le bout du monde ?
Non, c'était notre terre, perpétuant sa ronde.
N'était-ce qu'un mirage ? un espoir pour demain ?
Oh ! mon rêve s'enfuit ! je l'apostrophe... en vain.
Bravo Chrys.
Julien.