Que cherchent ces hommes,
Polis de toutes leurs forces,
Aux sombres atomes qui les consument,
Et leurs prête un air féroce.
Rien d'autre qu'une joie,
Lotie dans la misère,
Germant et éphémère,
Périssable à leurs doigts.
Souvent les notes d'un piano,
S'envolent en adagio,
Plus haut que les drapeaux,
Flottant aux cimes des égos.
Toujours ils s'émerveillent,
A voir cet espace,
Entre regards tenaces,
S'emplir d'hydromel.
Polis de toutes leurs forces,
Aux sombres atomes qui les consument,
Et leurs prête un air féroce.
Rien d'autre qu'une joie,
Lotie dans la misère,
Germant et éphémère,
Périssable à leurs doigts.
Souvent les notes d'un piano,
S'envolent en adagio,
Plus haut que les drapeaux,
Flottant aux cimes des égos.
Toujours ils s'émerveillent,
A voir cet espace,
Entre regards tenaces,
S'emplir d'hydromel.