Ce soir-là, l’alcool empourprait les joues d’Hagrid plus que d’habitude. Il entonnait un vieux chant anglais, passait du rire aux larmes puis des larmes au rire. Il ne savait plus trop su... [+]
Soleils des abysses
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Certains soirs sur les mers d’Orient,
On peut voir, bravant le courant,
Des méduses luminescentes
Qui éclairent la nuit naissante.
Comme des astres sur les flots,
Elles résistent aux brusques assauts
Des vagues houleuses et du vent,
Brillant dans le noir océan.
Les marins racontent parfois,
La voix frissonnante d’effroi,
Qu’elles proviennent de l’au-delà,
Fantômes perdus ici-bas.
Ainsi les esprits vagabondent,
Défiant les infernales ondes
De ce fleuve les séparant
Du monde lointain des vivants.
On peut voir, bravant le courant,
Des méduses luminescentes
Qui éclairent la nuit naissante.
Comme des astres sur les flots,
Elles résistent aux brusques assauts
Des vagues houleuses et du vent,
Brillant dans le noir océan.
Les marins racontent parfois,
La voix frissonnante d’effroi,
Qu’elles proviennent de l’au-delà,
Fantômes perdus ici-bas.
Ainsi les esprits vagabondent,
Défiant les infernales ondes
De ce fleuve les séparant
Du monde lointain des vivants.

Pourquoi on a aimé ?
Une très belle image est décrite dans ce poème qui associe ainsi une atmosphère à la fois brillante et abyssale, calme et houleuse
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Pourquoi on a aimé ?
Une très belle image est décrite dans ce poème qui associe ainsi une atmosphère à la fois brillante et abyssale, calme et houleuse