Par la fenêtre striée de givre
Les flocons tombent par millier
Et tourbillonnent
Un vent du Nord ne cesse de s'essoufler
Dans la cheminée
Le feu crépite
Mon coeur palpite
Emmitouflée dans ma couverture sur le divan
Ce matin un thé à la main
Hier une coupe de vin
Je m'ennivre de chaleur
Bonheur de l'heure vive
Le liquide pourpré scintille doucement
Dans la clarté mouvante de la flamme des bougies
On dit qu'on lit les hommes
Dans le regard du vin
Agréable euphorie
Celle qui fait miroiter
La multitude de possibilités qui s’offrent à nous
L'hiver, un espace désertique
Arraché au cours du temps
Au cours de la vie
Figeant la vie
Le calme clame et réclame
Bulle de silence
Belle solitude
Savourer chaque tempête
Être bien, être soi, simplement
Écoute la course des vents
C'est la parole des esprits
Les flocons tombent par millier
Et tourbillonnent
Un vent du Nord ne cesse de s'essoufler
Dans la cheminée
Le feu crépite
Mon coeur palpite
Emmitouflée dans ma couverture sur le divan
Ce matin un thé à la main
Hier une coupe de vin
Je m'ennivre de chaleur
Bonheur de l'heure vive
Le liquide pourpré scintille doucement
Dans la clarté mouvante de la flamme des bougies
On dit qu'on lit les hommes
Dans le regard du vin
Agréable euphorie
Celle qui fait miroiter
La multitude de possibilités qui s’offrent à nous
L'hiver, un espace désertique
Arraché au cours du temps
Au cours de la vie
Figeant la vie
Le calme clame et réclame
Bulle de silence
Belle solitude
Savourer chaque tempête
Être bien, être soi, simplement
Écoute la course des vents
C'est la parole des esprits