Quand souffle le vent,
Je peux entendre le chant,
Des feuilles tournoyant,
Autour de ce désordre enchantant
Quand souffle l'air frais,
De cette magnifique aire de paix,
Je crois à peine percevoir,
Un poisson battre de ses puissantes nageoires
Quand souffle un chien essoufflé,
Qui vient de terminer sa petite course effrénée,
Les petits oursons,
Peuvent continuer leur longue hibernation
Quand soufflent les cheminées,
Des nombreux toits abandonnés,
Les enfants peuvent aller s'y réchauffer,
Ou bien s'y cacher avant que la tempête n'ait cessé
Quand souffle la puissante tornade,
Sortant ainsi un oiseau d'une profonde noyade,
Les troupeaux de cerfs continuent de gambader,
Dans les vastes prairies ensoleillées...
Je peux entendre le chant,
Des feuilles tournoyant,
Autour de ce désordre enchantant
Quand souffle l'air frais,
De cette magnifique aire de paix,
Je crois à peine percevoir,
Un poisson battre de ses puissantes nageoires
Quand souffle un chien essoufflé,
Qui vient de terminer sa petite course effrénée,
Les petits oursons,
Peuvent continuer leur longue hibernation
Quand soufflent les cheminées,
Des nombreux toits abandonnés,
Les enfants peuvent aller s'y réchauffer,
Ou bien s'y cacher avant que la tempête n'ait cessé
Quand souffle la puissante tornade,
Sortant ainsi un oiseau d'une profonde noyade,
Les troupeaux de cerfs continuent de gambader,
Dans les vastes prairies ensoleillées...