— Si tu veux, on va faire un lancer, lui dit-il.
— Lancer de quoi, Martin, lancer de poids ?
— Non, Tom, ce... [+]
La nuit règne sans fin sur la campagne noire,
Attisant mon désir.
Dans mon cœur tu plantas une flèche d’ivoire,
Puis tu m’abandonnas, victime dérisoire.
Bientôt je vais mourir.
Cupidon, le cruel, invita dans la fête
Le fol cupidonneau.
Tu le suivis, tu te laissas tourner la tête
Par ce sombre butor balançant sa conquête
En bête ramponneau.
Le sommeil s’est enfui, tu ne peux me répondre,
Amour, je te maudis.
Pour toi, ma douce aimée, je veux que tout s’effondre,
Ma chérie, qu’en enfer tu ailles te morfondre,
Venin, mon paradis.
Au loin, le ciel pâlit, se lève l’aube blême,
Et je guette le jour.
Tu es là, oui, c’est toi, je renie mes blasphèmes.
C’est la Saint-Valentin et tu es là ! Je t’aime !
Pardon, mon bel amour !
Attisant mon désir.
Dans mon cœur tu plantas une flèche d’ivoire,
Puis tu m’abandonnas, victime dérisoire.
Bientôt je vais mourir.
Cupidon, le cruel, invita dans la fête
Le fol cupidonneau.
Tu le suivis, tu te laissas tourner la tête
Par ce sombre butor balançant sa conquête
En bête ramponneau.
Le sommeil s’est enfui, tu ne peux me répondre,
Amour, je te maudis.
Pour toi, ma douce aimée, je veux que tout s’effondre,
Ma chérie, qu’en enfer tu ailles te morfondre,
Venin, mon paradis.
Au loin, le ciel pâlit, se lève l’aube blême,
Et je guette le jour.
Tu es là, oui, c’est toi, je renie mes blasphèmes.
C’est la Saint-Valentin et tu es là ! Je t’aime !
Pardon, mon bel amour !
C,est un grand plaisir pour moi d’avoir eu et d’avoir encore tous ces retours favorables.