J’ai bien fermé la porte, de mon cœur blessé,
Pour qu’aucune promesse ne vienne l’agresser,
Pas un seul mot d’amour, pas une seule ritournelle
Ne pourra y entrer et y mettre l’étincelle
Il a du supporter ces dernières années
La promesse d’un rêve, mais la rudesse des faits
Mon cœur est condamné à ne plus pouvoir aimer
Mais c’est pour éviter de le voir trop saigner...
On pourra assister, un peu chaque matin
A son réveil en force, sans peur et sans crainte
Il prendra peu à peu cet unique chemin
Sans rêve, sans espoir mais aussi sans plainte.
Sur cette longue route, il pourra rencontrer
De douces tentations qui voudront l’accoster
Il voudra résister ! Mais il devra céder...
Parce ce n’est qu’un cœur et qu’il ne peut qu’aimer...
Pour qu’aucune promesse ne vienne l’agresser,
Pas un seul mot d’amour, pas une seule ritournelle
Ne pourra y entrer et y mettre l’étincelle
Il a du supporter ces dernières années
La promesse d’un rêve, mais la rudesse des faits
Mon cœur est condamné à ne plus pouvoir aimer
Mais c’est pour éviter de le voir trop saigner...
On pourra assister, un peu chaque matin
A son réveil en force, sans peur et sans crainte
Il prendra peu à peu cet unique chemin
Sans rêve, sans espoir mais aussi sans plainte.
Sur cette longue route, il pourra rencontrer
De douces tentations qui voudront l’accoster
Il voudra résister ! Mais il devra céder...
Parce ce n’est qu’un cœur et qu’il ne peut qu’aimer...
Mon vote malgré tout, l'ensemble du poème et surtout le dernier vers m'ont fait penser à Verlaine : "Et puis voici mon
coeur qui ne bat que pour vous"
Dans un registre beaucoup moins poétique, si vous souhaitez faire connaissance avec mes purotins : http://short-edition.com/oeuvre/nouvelles/enfants-de-purotins