Fureur d’un peuple fier aux talons rugissants,
Adoube sa conquête, volute d’une danse,
Piétinant son passé de douleurs et
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Petit Sphinx
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Je ne peux d'un vrai chant vibrer du juste émoi :
En allongeant le pas au jardin citronnier
L'art mystérieux de ton père flibustier
À choisi ta maman pour enfleurer sa voie.
La pendule n'a feint de courir l'onde claire,
Le ciel et les buissons ont conjugué entre eux
Pépites de couleurs dans les yeux de ta mère,
Et au matin tintant nous étions tous heureux.
Petit Sphinx endormi jaillissant des écumes
Sur l'oreiller des fleurs et les yeux dans la brume
Tu es venu vers nous le flux audacieux.
Le bonheur sans bémol a décroché la lune,
Tes parents enivrés de leur bonne fortune
Mes yeux noyés soudain de l'eau bénie des cieux.
En allongeant le pas au jardin citronnier
L'art mystérieux de ton père flibustier
À choisi ta maman pour enfleurer sa voie.
La pendule n'a feint de courir l'onde claire,
Le ciel et les buissons ont conjugué entre eux
Pépites de couleurs dans les yeux de ta mère,
Et au matin tintant nous étions tous heureux.
Petit Sphinx endormi jaillissant des écumes
Sur l'oreiller des fleurs et les yeux dans la brume
Tu es venu vers nous le flux audacieux.
Le bonheur sans bémol a décroché la lune,
Tes parents enivrés de leur bonne fortune
Mes yeux noyés soudain de l'eau bénie des cieux.
