Parfois, j'ai l'impression de tout foirer.
Ça n'a rien d'original, je le sais,
C'est aussi commun que la connerie.
Bien que de ça, personne n'en rougit.
Mais ça n'empêche en rien la dépression,
Cette pourriture qui tourne en rond
Dans ma tête, encore et encore. Et qui
Pollue chaque recoin de mon esprit.
A quoi ça sert de remuer la merde ?
Au fil du temps les souvenirs se perdent.
Qui ça intéressera dans dix ans,
Les regrets qu'on ressasse maintenant ?
Cette pression, je me l'impose seul.
Dévore ma propre âme avec ma gueule.
Le terreau fertile de mon malheur
A pour engrais mes infimes erreurs.
Si j'en finissais avec les reproches ?
Que j'éjectais les pensées les plus moches ?
On m'a un jour appris, avec raison :
Oublie l'erreur, mais retiens la leçon.
Ça n'a rien d'original, je le sais,
C'est aussi commun que la connerie.
Bien que de ça, personne n'en rougit.
Mais ça n'empêche en rien la dépression,
Cette pourriture qui tourne en rond
Dans ma tête, encore et encore. Et qui
Pollue chaque recoin de mon esprit.
A quoi ça sert de remuer la merde ?
Au fil du temps les souvenirs se perdent.
Qui ça intéressera dans dix ans,
Les regrets qu'on ressasse maintenant ?
Cette pression, je me l'impose seul.
Dévore ma propre âme avec ma gueule.
Le terreau fertile de mon malheur
A pour engrais mes infimes erreurs.
Si j'en finissais avec les reproches ?
Que j'éjectais les pensées les plus moches ?
On m'a un jour appris, avec raison :
Oublie l'erreur, mais retiens la leçon.