Valses endiablées de sombres trous dans l’univers,
Jouissons de fusion, leur souffle, sans voix, en l'air.
Sur la terre se dilate l'espace temps,
Cette vibration remue, ténue, tout habitant.
L'observation a pour étalon la lumière,
Balayant, sans manière espace sans matière,
Nano seconde, ici, ailleurs, au même instant.
Menue torsion du réel, si fiable pourtant.
Par instinct, Einstein, le génie, l'avait prédit,
L'enfin palpable donne accès à l’inédit,
Cent ans s'ouvrent, pour étudier cette caresse.
Une découverte, à la portée insoupçonnée,
Pour tous les spécialistes elle en est la promesse,
Je fête donc son arrivée, par un sonnet.
Jouissons de fusion, leur souffle, sans voix, en l'air.
Sur la terre se dilate l'espace temps,
Cette vibration remue, ténue, tout habitant.
L'observation a pour étalon la lumière,
Balayant, sans manière espace sans matière,
Nano seconde, ici, ailleurs, au même instant.
Menue torsion du réel, si fiable pourtant.
Par instinct, Einstein, le génie, l'avait prédit,
L'enfin palpable donne accès à l’inédit,
Cent ans s'ouvrent, pour étudier cette caresse.
Une découverte, à la portée insoupçonnée,
Pour tous les spécialistes elle en est la promesse,
Je fête donc son arrivée, par un sonnet.