Parfois quand le cœur se perd dans la solitude
Ou qu’il dépéri d’une guerre sans flambeaux
Il se croit durci d’une carapace rude
Et s’enchaîne en horreur à ses propres tombeaux
Que reste t’il alors de la triste amertume
Qui sans relâche se dissipe dans la brume
Et ceux qui, lâche, se morfonde en colère
S’abaisse des lors, aux Morphées de poussières
Est une vertu que l’intelligence envie
Et qui n’a pas plus de besoin que d’ennemie
Celle qui fait pâlir le désir quand il joui
Et oubli de grandir dans les si faibles esprits
A ceux qui dans la vie ne m’ont jamais croisé
Et qui liront cela sans me le retourner
Voyez comme rien n’est perdu en disant là
Les mots oubliés sur un morceau de poème
La vérité est que l’amour ne se trouve pas
Et ne se doit point, il s’invente et je vous aime
Ou qu’il dépéri d’une guerre sans flambeaux
Il se croit durci d’une carapace rude
Et s’enchaîne en horreur à ses propres tombeaux
Que reste t’il alors de la triste amertume
Qui sans relâche se dissipe dans la brume
Et ceux qui, lâche, se morfonde en colère
S’abaisse des lors, aux Morphées de poussières
Est une vertu que l’intelligence envie
Et qui n’a pas plus de besoin que d’ennemie
Celle qui fait pâlir le désir quand il joui
Et oubli de grandir dans les si faibles esprits
A ceux qui dans la vie ne m’ont jamais croisé
Et qui liront cela sans me le retourner
Voyez comme rien n’est perdu en disant là
Les mots oubliés sur un morceau de poème
La vérité est que l’amour ne se trouve pas
Et ne se doit point, il s’invente et je vous aime