Composer te ronge, comme tu me l'as peint
Tu m'alpaguas reine, pour être ton roi lire
Sur ton coeur je m'allonge, et j'y
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Le Son du Coeur
il y a
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Lauréat
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Un son dans ce silence, un seul dans cet instant ;
Persistant que tu ries, tu pleures ou tu t’endormes,
Et bien avant de naître, jusqu’aux moments plus mornes,
C’est lui qui sans fléchir, quasi inexistant,
Nous maintient éveillés, me maintient à côté,
De toi pendant ces nuits, ou peinant à rêver,
Ma paume, elle, effleurait, ton sein déshabillé...
Et si sans le vouloir, ce son du cœur était,
Pour moi l’épiphanie, d’un amour qui bourgeonne,
Encore imperceptible, mais bien enraciné ?
Car en mon cœur aussi, il s’est manifesté,
Ce son imperceptible, mais qui parfois raisonne...
Si douces sont ces nuits, où le monde disparaît,
Se dérobant un temps, n’épargnant que nos cœurs,
N’est-il pas prodigieux, d’ouïr durant ces heures,
Ces deux ondes sonores qui nous lient à jamais !
Persistant que tu ries, tu pleures ou tu t’endormes,
Et bien avant de naître, jusqu’aux moments plus mornes,
C’est lui qui sans fléchir, quasi inexistant,
Nous maintient éveillés, me maintient à côté,
De toi pendant ces nuits, ou peinant à rêver,
Ma paume, elle, effleurait, ton sein déshabillé...
Et si sans le vouloir, ce son du cœur était,
Pour moi l’épiphanie, d’un amour qui bourgeonne,
Encore imperceptible, mais bien enraciné ?
Car en mon cœur aussi, il s’est manifesté,
Ce son imperceptible, mais qui parfois raisonne...
Si douces sont ces nuits, où le monde disparaît,
Se dérobant un temps, n’épargnant que nos cœurs,
N’est-il pas prodigieux, d’ouïr durant ces heures,
Ces deux ondes sonores qui nous lient à jamais !

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