solitude matinale
givrée
invitation d'arbres livides
tu avances
ta boussole s'est égarée
un ours
tu crois
non... [+]
Si la jeunesse recule jour après jour,
Sous les assauts implacables de la vieillesse,
Abandonnant ici et là de vastes territoires de chair et d'os,
Il existe un fortin d'où elle ne reculera plus,
Une dernière position qu'elle tiendra coûte que coûte...
Le dernier bastion dans lequel se réfugie la jeunesse est la tête.
Dans ce poème, les vers sont libres,
De manger, après moi, les restes !
Sous les assauts implacables de la vieillesse,
Abandonnant ici et là de vastes territoires de chair et d'os,
Il existe un fortin d'où elle ne reculera plus,
Une dernière position qu'elle tiendra coûte que coûte...
Le dernier bastion dans lequel se réfugie la jeunesse est la tête.
Dans ce poème, les vers sont libres,
De manger, après moi, les restes !
Allez continue.
T'es pas obligé mais ça me ferait bien plaisir.
Merci Lionel de tes ondes
sylvie