Parfois le jour nous induit en erreur,
De celle que l’on commet les yeux éblouis.
Il faut alors très vite que se présente la nuit,
Celle qui nous entraîne d’heure en heure.
Rien à expliquer, tout à recevoir.
Ebahie je regarde le ciel se confondre en excuses,
Surpris que je l’accueille tout recouvert de noir.
Pourtant jamais cette obscurité ne m’abuse.
Les étoiles me parlent, livrent un éblouissant spectacle,
Celui de lueurs valsant avec la pénombre.
En rangs serrés les mots flirtent avec les nombres.
Combien je les aime ces petits miracles !
Je peux fermer les yeux et attendre que viennent
Ces doux mots silencieux que rien ne trouble
Sinon une alchimie que mon esprit malmène.
Je m’offre ainsi à eux espérant qu’ils m’adoubent.
De celle que l’on commet les yeux éblouis.
Il faut alors très vite que se présente la nuit,
Celle qui nous entraîne d’heure en heure.
Rien à expliquer, tout à recevoir.
Ebahie je regarde le ciel se confondre en excuses,
Surpris que je l’accueille tout recouvert de noir.
Pourtant jamais cette obscurité ne m’abuse.
Les étoiles me parlent, livrent un éblouissant spectacle,
Celui de lueurs valsant avec la pénombre.
En rangs serrés les mots flirtent avec les nombres.
Combien je les aime ces petits miracles !
Je peux fermer les yeux et attendre que viennent
Ces doux mots silencieux que rien ne trouble
Sinon une alchimie que mon esprit malmène.
Je m’offre ainsi à eux espérant qu’ils m’adoubent.