J’entends au loin sonner l’Angélus,
Alors qu’au-dessus du ciel drapé de carmin,
Déjà luit la belle Vénus,
Veilleuse de l’astre solaire en déclin.
Encore une paire d’heures,
Le temps que le jour fuyant
Éteigne ces tardives lueurs...
Dès lors, des milliers de mondes scintillants
Ornent l’immensité du Ciel
De leurs mystères universels.
Les pieds ancrés sur Terre,
Mais l’esprit au loin envolé,
Des réponses dans la nuit je l’espère
Dans ma quête de vérité.
Mes yeux petit à petit habitués
A la paisible obscurité
Cherchent le voile étoilé
De notre chère Voie Lactée.
Telle une traînée d’écume
Qu’une mer astrale aurait laissée,
Je perçois enfin la stellaire brume,
Si riche de contrées inexplorées.
Comme bien avant moi Galilée,
Je pointe mon grand œil argenté
Au sein de notre Galaxie
A la recherche de nouveaux infinis...
Là, une jolie sphère floutée,
Étincelante et bleutée
Dans son cocon enveloppée...
Une somptueuse étoile est née.
Ici un grand nuage soufflé,
Aux mille couleurs éparpillées...
En son centre, brille encore une lueur,
Vieille étoile en supernova explosée...
Plus loin, une majestueuse spirale galactique,
Une myriade d’étoiles emportées
Dans l’immense tourbillon de gravité
D’une entraînante valse cosmique...
Au cœur de la nuit claire,
La Lune s’est levée.
Non pour me déplaire,
Je me tourne vers ses mers figées...
Émouvant désert lunaire,
Aux si nombreux cratères,
Témoins du passé tourmenté,
Que rien n’est venu effacer...
Au hasard des directions,
De recherches en révélations,
Explorer l’Univers
Est le plus beau des voyages,
Commencé les pieds sur Terre
Et à travers les âges.
Sentiment d’humilité
Sous cette magnificence divine
De trésors en partie dévoilés,
Mystères de nos origines.
Alors qu’au-dessus du ciel drapé de carmin,
Déjà luit la belle Vénus,
Veilleuse de l’astre solaire en déclin.
Encore une paire d’heures,
Le temps que le jour fuyant
Éteigne ces tardives lueurs...
Dès lors, des milliers de mondes scintillants
Ornent l’immensité du Ciel
De leurs mystères universels.
Les pieds ancrés sur Terre,
Mais l’esprit au loin envolé,
Des réponses dans la nuit je l’espère
Dans ma quête de vérité.
Mes yeux petit à petit habitués
A la paisible obscurité
Cherchent le voile étoilé
De notre chère Voie Lactée.
Telle une traînée d’écume
Qu’une mer astrale aurait laissée,
Je perçois enfin la stellaire brume,
Si riche de contrées inexplorées.
Comme bien avant moi Galilée,
Je pointe mon grand œil argenté
Au sein de notre Galaxie
A la recherche de nouveaux infinis...
Là, une jolie sphère floutée,
Étincelante et bleutée
Dans son cocon enveloppée...
Une somptueuse étoile est née.
Ici un grand nuage soufflé,
Aux mille couleurs éparpillées...
En son centre, brille encore une lueur,
Vieille étoile en supernova explosée...
Plus loin, une majestueuse spirale galactique,
Une myriade d’étoiles emportées
Dans l’immense tourbillon de gravité
D’une entraînante valse cosmique...
Au cœur de la nuit claire,
La Lune s’est levée.
Non pour me déplaire,
Je me tourne vers ses mers figées...
Émouvant désert lunaire,
Aux si nombreux cratères,
Témoins du passé tourmenté,
Que rien n’est venu effacer...
Au hasard des directions,
De recherches en révélations,
Explorer l’Univers
Est le plus beau des voyages,
Commencé les pieds sur Terre
Et à travers les âges.
Sentiment d’humilité
Sous cette magnificence divine
De trésors en partie dévoilés,
Mystères de nos origines.