Braises sur le lac
réflexions automnales
un érable rouge
Désir d’Elle… – Orchidées palpitantes –
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De mes doigts pèlerins j’onde ta terre ambrée.
Tel Modigliani j’en trace les contours.
Chaudes couleurs, rougeurs, sont tes nouveaux atours,
Lorsqu’aux assauts mutins, tu te soumets, cambrée.
En vagues de désir, nous porte la marée
Pour nos corps exaltés : nul espoir de retour.
L’univers est plaisir, quand, enfin, à mon tour,
Je fléchis sous ton joug, belle enfant de Nérée.
Qui donc saurait alors, tous nos sens apaiser,
Quand, sur mon sein dressé se pose ton baiser,
Quand ma rose orchidée sous ta lèvre agonise ?
Au-delà du charnel, un bonheur résolu
Se fait jour, et c’est grâce à toi, mon absolu.
Toi, mon double, ma sœur : ma chair… amante exquise.
Tel Modigliani j’en trace les contours.
Chaudes couleurs, rougeurs, sont tes nouveaux atours,
Lorsqu’aux assauts mutins, tu te soumets, cambrée.
En vagues de désir, nous porte la marée
Pour nos corps exaltés : nul espoir de retour.
L’univers est plaisir, quand, enfin, à mon tour,
Je fléchis sous ton joug, belle enfant de Nérée.
Qui donc saurait alors, tous nos sens apaiser,
Quand, sur mon sein dressé se pose ton baiser,
Quand ma rose orchidée sous ta lèvre agonise ?
Au-delà du charnel, un bonheur résolu
Se fait jour, et c’est grâce à toi, mon absolu.
Toi, mon double, ma sœur : ma chair… amante exquise.
