Je me réveille il y a des milliers d'années
La lumière du soleil
Est un hérisson d'aiguilles lumineuses
Jaillissant
... [+]
Dans les lointains il y a un monde
Où ta voix sonne doucement,
Les ombres recèlent des teintes cuivrées
Dans ton regard velouté
Il y a de la tendresse...
Des pommes de pin jonchent la véranda
(Mais l'hiver est loin,
Loin,
Sur la dernière des planètes extérieures)
Un jeune soleil caresse gentiment le sol
Avance de ses paillettes ambre
Sur le sentier semé d'aiguilles rousses,
Répand de la poussière dorée sur les nervures des balustrades
(Et notre colère est loin,
Loin,
Dans la plus petite des sept lunes)
La route qui longe le jardin
Serpente ensuite vers le Sud
Vers la plage aux sables murmurants
Là où, la nuit, baignent des oiseaux stellaires
Là où, le jour, planent des dirigeables azurés
(Et le malheur est loin
Loin
A l'extrémité du bras spiral,
Au fin fond du vide)
Où ta voix sonne doucement,
Les ombres recèlent des teintes cuivrées
Dans ton regard velouté
Il y a de la tendresse...
Des pommes de pin jonchent la véranda
(Mais l'hiver est loin,
Loin,
Sur la dernière des planètes extérieures)
Un jeune soleil caresse gentiment le sol
Avance de ses paillettes ambre
Sur le sentier semé d'aiguilles rousses,
Répand de la poussière dorée sur les nervures des balustrades
(Et notre colère est loin,
Loin,
Dans la plus petite des sept lunes)
La route qui longe le jardin
Serpente ensuite vers le Sud
Vers la plage aux sables murmurants
Là où, la nuit, baignent des oiseaux stellaires
Là où, le jour, planent des dirigeables azurés
(Et le malheur est loin
Loin
A l'extrémité du bras spiral,
Au fin fond du vide)