La côte d’argent tisse
Tentacules dorés
Ses bras de sable blanc
Sur les dunes enfiévrées.
Du phare de... [+]
C'est l'extase ou la Mélancolie.
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C'est sur des touches en noirs et blancs,
Que s'entassent la plus part de mes sentiments,
Un refrain, des images pleins la tête,
Des couleurs pétillantes à chaque envol,
D'une note que l'on attend en patience,
Telle l'arrivée du Soleil qui éveille nos sens,
Et c'est sur un morceau de bois ancien,
Que j'ai reconstruis avec douceur,
L'ensemble de mes grandes torpeurs.
Et des larmes ont coulées,
Puis mes colères se sont calmées,
Juge de rien, il m'a observé en silence.
A mon ami, qui a vu, sans pudeur,
Les failles de ma personnalité,
Les défauts de mes humeurs,
Les Abysses de mes rêves,
Souvent hauts en Noirceurs,
Et parfois aussi,
Quelques irréversibles quêtes,
D'un bonheur qui se cache et s'y entête.
Déchirée était mon âme, piétiné était mon coeur,
Anéanti restait mon corps tout en mélancolie.
Avoir un piano et lui offrir sa vie,
C'est une utopiste qui parlerait de la vie !
Et pourtant, ce sont la justesse de ses attirances,
Qui font que chaque jour un peu plus, un peu mieux,
Je lui offre mes moindres envies sans réticences.
A l'aube, il me souffle encore ses désirs,
Festivités, Joie, peine, éternité gravées !
Dans le coeur d'une pianiste inaccomplie,
Qui ne saurait que progresser pour lui !
Parce qu'il vit dans ce que je suis.
Et qu'il me fait dire, aujourd'hui,
Qu'il est et restera mon seul et unique,
Ami.
Que s'entassent la plus part de mes sentiments,
Un refrain, des images pleins la tête,
Des couleurs pétillantes à chaque envol,
D'une note que l'on attend en patience,
Telle l'arrivée du Soleil qui éveille nos sens,
Et c'est sur un morceau de bois ancien,
Que j'ai reconstruis avec douceur,
L'ensemble de mes grandes torpeurs.
Et des larmes ont coulées,
Puis mes colères se sont calmées,
Juge de rien, il m'a observé en silence.
A mon ami, qui a vu, sans pudeur,
Les failles de ma personnalité,
Les défauts de mes humeurs,
Les Abysses de mes rêves,
Souvent hauts en Noirceurs,
Et parfois aussi,
Quelques irréversibles quêtes,
D'un bonheur qui se cache et s'y entête.
Déchirée était mon âme, piétiné était mon coeur,
Anéanti restait mon corps tout en mélancolie.
Avoir un piano et lui offrir sa vie,
C'est une utopiste qui parlerait de la vie !
Et pourtant, ce sont la justesse de ses attirances,
Qui font que chaque jour un peu plus, un peu mieux,
Je lui offre mes moindres envies sans réticences.
A l'aube, il me souffle encore ses désirs,
Festivités, Joie, peine, éternité gravées !
Dans le coeur d'une pianiste inaccomplie,
Qui ne saurait que progresser pour lui !
Parce qu'il vit dans ce que je suis.
Et qu'il me fait dire, aujourd'hui,
Qu'il est et restera mon seul et unique,
Ami.
charline je vous ai souvent lue.
auj je vous demande si en 2 h vous pouvez venir soutenir par vos voix mes 2 écrits en finale. bien besoin. vous savez. les titrres " sur le chemin qui mène au puits" et "jusqu'à la pointe". je vous y attends fébrile c'est ma 1er exp. merci de votre passage et de votre soutien précieux. à bientôt. écrivez écrivez..