Je regarderai ce monde
De l’antre d’une forêt silencieuse
Où les ombres se relaxent
Et prennent le feuillage... [+]
Ballet urbain des voyageurs : dernière représentation
Je regarde passer « Ceux qui sont rien », qu’ont pas de bagage, mais le poids du monde au fond du cœur.
Les vagabonds de la première heure, qui patientent le prochain départ, pour tout reprendre à zéro.
Ceux qui font parti du spectacle, acteurs malgré eux d’une scène des plus fascinantes.
Ceux qui veulent plus tenir leur rôle, et laissent leur passé sur un quai
Ceux qui arrivent, ceux qui s’en vont, tous ceux qui ne se croiseront jamais, bien qu’ils portent les mêmes rêves.
Ceux qui se ruinent et en deviennent des vestiges. Les poches si vides, que leurs mains en ont le vertige.
Les bons à rien, les prêts à tout
Et puis les autres
Tous ceux et qui s’aiment ou se séparent. Celle qui attend le funiculaire qui l’embarquera au septième ciel... correspondance pour les nuages.
Celui qui hésite devant les rails. Un claustrophobe trop angoissé par l’ascenseur émotionnel.
Celle qui ne fera rien. Celle qui fera tout.
Tous ceux qui font tourner le monde, quand bien même ils vont de travers. Celui qui reste droit dans ses bottes, mais n’a que des idées tordues.
Tous ceux qui sifflent, en chef de gare, mais ne seront pas du voyage. Ceux qui n’ont qu’un poste radio, pour promettre des lendemains qui chantent.
Celui qui regarde passer les gens, depuis son quai.
Ceux qui ne sont rien. Ceux qui sont tout
Celui qui regarde le spectacle
Ballet urbain des voyageurs
Je regarde passer « Ceux qui sont rien », qu’ont pas de bagage, mais le poids du monde au fond du cœur.
Les vagabonds de la première heure, qui patientent le prochain départ, pour tout reprendre à zéro.
Ceux qui font parti du spectacle, acteurs malgré eux d’une scène des plus fascinantes.
Ceux qui veulent plus tenir leur rôle, et laissent leur passé sur un quai
Ceux qui arrivent, ceux qui s’en vont, tous ceux qui ne se croiseront jamais, bien qu’ils portent les mêmes rêves.
Ceux qui se ruinent et en deviennent des vestiges. Les poches si vides, que leurs mains en ont le vertige.
Les bons à rien, les prêts à tout
Et puis les autres
Tous ceux et qui s’aiment ou se séparent. Celle qui attend le funiculaire qui l’embarquera au septième ciel... correspondance pour les nuages.
Celui qui hésite devant les rails. Un claustrophobe trop angoissé par l’ascenseur émotionnel.
Celle qui ne fera rien. Celle qui fera tout.
Tous ceux qui font tourner le monde, quand bien même ils vont de travers. Celui qui reste droit dans ses bottes, mais n’a que des idées tordues.
Tous ceux qui sifflent, en chef de gare, mais ne seront pas du voyage. Ceux qui n’ont qu’un poste radio, pour promettre des lendemains qui chantent.
Celui qui regarde passer les gens, depuis son quai.
Ceux qui ne sont rien. Ceux qui sont tout
Celui qui regarde le spectacle
Ballet urbain des voyageurs
Si ce n'est fait, je vous propose la lecture de "Ressource", il y a un ballet de souffrance et d'espoir...