Ma douce et tendre amie,
Retrouvons nous un jour
Au pied de ce grand arbre
Témoin de nos saisons
Et qui perd comme
... [+]
Le 10 novembre,
Pour abréger mes souffrances
La mort est venue me chercher.
D'une main tendre,
Je n'ai pas su la refuser.
***
Elle portait un joli costume,
Elle ressemblait à un jeune papillon,
Ce qui n'était pas coutume.
***
Quand elle m'a saisi,
Je l'ai reconnue.
C'était la petite fille que nous avions perdue.
***
Des bleus à l'âme,
Je suis passé à la guérison.
***
A toute ma famille qui m'a rendu heureux,
A tous ces bons moments chaleureux passés ensemble,
A mes petits enfants que j'aime plus que tout au monde.
Papy
Pour abréger mes souffrances
La mort est venue me chercher.
D'une main tendre,
Je n'ai pas su la refuser.
***
Elle portait un joli costume,
Elle ressemblait à un jeune papillon,
Ce qui n'était pas coutume.
***
Quand elle m'a saisi,
Je l'ai reconnue.
C'était la petite fille que nous avions perdue.
***
Des bleus à l'âme,
Je suis passé à la guérison.
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A toute ma famille qui m'a rendu heureux,
A tous ces bons moments chaleureux passés ensemble,
A mes petits enfants que j'aime plus que tout au monde.
Papy
La mort sait parfois endosser ses habits de gala pour se faire sirène. Faut il s'en plaindre? Je ne crois pas. Et heureux le Papy qui a su toute tête garder...