À quoi ressemblerait le roman que j'aimerais terminer ?
Ce serait un livre où chacun se remarquerait sans se reconnaître. Un livre surtout dépouillé de phrases-poncifs comme la
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Plus qu’une page blanche, ces lignes se proposent de véhiculer le malaise de son auteur. Une lecture attentive et volontaire sera contagieuse, mais honnêtement, on n’en est plus là. Trois Français sur quatre se disent plutôt tristes, il vaut mieux être Hongrois. On n’est pas triste quand on est seul, on est seul quand on est triste. Et la rhétorique n’arrange rien.