Quand vient du silence, pour unique tunique,
Et dans les profondeurs des corolles errantes,
Là, je ferme les yeux d'une vague
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Libertain des mots, esquif des îles et des elles, j'écris pour le plaisir de l'âme, je suis un passeur d'âmes à la clarté d'un luminaire, au travers le reflet d'un miroir, je vous fais traverse ... [+]
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Je vois la lumière visible
Celle qui éveille mes sens
Du blanc satiné au noir lisible,
Ô transcendances essences.
Je vois la beauté de la chaleur
Le rouge orangé d’une bougie.
Le crépitement du bonheur
Prit par un flash électronique qui vit !
Un corps noir dispersant de la chaleur
A travers les variations de couleurs,
Soleil à l’horizon ou lampe de sodium,
Tout simplement la couleur d’une pomme.
Métamérisme trompeur, sous la lumière
Artificielle, qui se joue entre clair-obscur
Et opacité lumineuse, et j’erre à travers
Les sources rutilantes profusément pures.
Comme une onde électromagnétique
Qui parcourt mon indigent corps mou,
Des monochromes bleus Klein ou
Encore de ces teintes chromatiques.
Chrom’artique de couleurs
Prisme orgasmique, à l’heure
Des noirs penseurs, j’avoue du soleil,
Et j’aime toutes ces couleurs de miel.
La couleur a l’intelligence de la sensibilité,
Elle nous touche, et de son émotion
Diffuse en nous, comme une électricité
Palpable, tout son amour avec profusion.
Celle qui éveille mes sens
Du blanc satiné au noir lisible,
Ô transcendances essences.
Je vois la beauté de la chaleur
Le rouge orangé d’une bougie.
Le crépitement du bonheur
Prit par un flash électronique qui vit !
Un corps noir dispersant de la chaleur
A travers les variations de couleurs,
Soleil à l’horizon ou lampe de sodium,
Tout simplement la couleur d’une pomme.
Métamérisme trompeur, sous la lumière
Artificielle, qui se joue entre clair-obscur
Et opacité lumineuse, et j’erre à travers
Les sources rutilantes profusément pures.
Comme une onde électromagnétique
Qui parcourt mon indigent corps mou,
Des monochromes bleus Klein ou
Encore de ces teintes chromatiques.
Chrom’artique de couleurs
Prisme orgasmique, à l’heure
Des noirs penseurs, j’avoue du soleil,
Et j’aime toutes ces couleurs de miel.
La couleur a l’intelligence de la sensibilité,
Elle nous touche, et de son émotion
Diffuse en nous, comme une électricité
Palpable, tout son amour avec profusion.
