« Quand tu viendras à la Bastide Vieille,
Prends le chemin des cigales, celui qui monte le plus, n'oublie pas, » m'as-tu
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J'ai rêvé de l'océan, de cette masse qui s'étend à perte de vue. J'ai rêvé de l'aube crémeuse qui, par touches, colorait ses ondulations de rose et d'orange mêlés. Je l'ai vu cet océan, je l'ai senti et respiré, ses embruns se collaient à ma peau pendant que de ses entrailles, montaient de curieux chants lyriques.
Les paupières closes et le cœur grand ouvert, je l'ai laissé entrer en moi, tant de souvenirs me revenaient.
J'ai rêvé de notre rencontre, de nos longues marches sur la grève, tandis que sur l'horizon couraient des chevaux imaginaires.
J'ai vu le Zénith bénir l'eau sur laquelle dansaient des reflets d'or. J'ai senti ta tête sur mon épaule et ton souffle conjugué au mien ;Un voile de douceur s'empara alors de nous.
J'ai rêvé de l'océan, de cette masse qui s'étend à perte de vue, j'y ai vu sombrer un crépuscule rougeoyant chargé de toutes nos promesses et de notre amour mutuel.
Les paupières closes et le cœur grand ouvert, je l'ai laissé entrer en moi, tant de souvenirs me revenaient.
J'ai rêvé de notre rencontre, de nos longues marches sur la grève, tandis que sur l'horizon couraient des chevaux imaginaires.
J'ai vu le Zénith bénir l'eau sur laquelle dansaient des reflets d'or. J'ai senti ta tête sur mon épaule et ton souffle conjugué au mien ;Un voile de douceur s'empara alors de nous.
J'ai rêvé de l'océan, de cette masse qui s'étend à perte de vue, j'y ai vu sombrer un crépuscule rougeoyant chargé de toutes nos promesses et de notre amour mutuel.
Merci