C'est une petite fille
Une petite fille d'Orient
Venue avec sa famille
À la rencontre de l'Occident.
Dans son pays elle... [+]
L'œil du Photographe par rapport aux autres, a la capacité
En chaque chose, en chaque personne, d'y trouver
ce petit truc en plus, cette émotion presque irréelle
qui n'est pas forcément vu par le commun des mortels
Lui, il a dans les yeux des milliers d'images
Que l'on peut voir, que l'on peut ressentir
Quand on regarde ses clichés, on ne peut que s'enrichir
De tous ces paysages, ces personnes, ces visages
Un clignement d'œil comme la mise au point d'un objectif
Son regard curieux, aux aguets, sans vraiment rechercher
Une femme, un arbre, une rame de métro, rien d'exclusif
Rien que le feeling d'un instant à capturer
Tout est en négatif, éclairage positif
Tout est parfois sombre, passage dans l'ombre
Il dit aimer prendre les zombies
Peut être afin de leur donner un peu vie
De l'autre côté, un trottoir où passent des inconnus
Son appareil photo comme le prolongement de sa vue
Capte un sourire, un regard, des moments de vie
Un rayon de soleil, un enfant qui sourit
Un regard prenant, Un regard troublant
Si vraiment on y plonge, on pourrait voir les songes
D’une nuit étoilée, au bord d'un océan bleutée
Une plage de sable fin, une envie d'y laisser son destin
Si l'envie lui prend, il sort son appareil photo
Pour un détail dans la rue, un portrait sur un mur dessiné
Un couple qui s'embrasse, une affiche sur un poteau
Et ensuite voir le résultat sur son écran immortalisé
Je me suis vue, comme il me voyait
Je ne me doutais pas de ce que ça allait donner
Et je reconnais avec un certain émoi
Que j'aime l'image qu'il a de moi
En chaque chose, en chaque personne, d'y trouver
ce petit truc en plus, cette émotion presque irréelle
qui n'est pas forcément vu par le commun des mortels
Lui, il a dans les yeux des milliers d'images
Que l'on peut voir, que l'on peut ressentir
Quand on regarde ses clichés, on ne peut que s'enrichir
De tous ces paysages, ces personnes, ces visages
Un clignement d'œil comme la mise au point d'un objectif
Son regard curieux, aux aguets, sans vraiment rechercher
Une femme, un arbre, une rame de métro, rien d'exclusif
Rien que le feeling d'un instant à capturer
Tout est en négatif, éclairage positif
Tout est parfois sombre, passage dans l'ombre
Il dit aimer prendre les zombies
Peut être afin de leur donner un peu vie
De l'autre côté, un trottoir où passent des inconnus
Son appareil photo comme le prolongement de sa vue
Capte un sourire, un regard, des moments de vie
Un rayon de soleil, un enfant qui sourit
Un regard prenant, Un regard troublant
Si vraiment on y plonge, on pourrait voir les songes
D’une nuit étoilée, au bord d'un océan bleutée
Une plage de sable fin, une envie d'y laisser son destin
Si l'envie lui prend, il sort son appareil photo
Pour un détail dans la rue, un portrait sur un mur dessiné
Un couple qui s'embrasse, une affiche sur un poteau
Et ensuite voir le résultat sur son écran immortalisé
Je me suis vue, comme il me voyait
Je ne me doutais pas de ce que ça allait donner
Et je reconnais avec un certain émoi
Que j'aime l'image qu'il a de moi
Votre dernier vers est pour moi, la récompense du photographe.
Je pense que votre poème peut s’appliquer à un peintre, un sculpteur, un compositeur, un écrivain, à des nuances près bien sûr.
La quête est la même, rendre l’emotion de l’instant.
Une belle découverte.
J'ai beaucoup aimé.
Je vous invite à lire ou relire "Les vies de l'eau" en finale été dans la catégorie Poèmes.
Amicalement,
Eric
Par ailleurs, si vous aimez les récits de voyage, je vous invite à rejoindre la Voie n°1, un train est en partance pour la Corne de l’Afrique. Je vous souhaite une belle traversée…
Si vous voulez découvrir mon univers :
https://short-edition.com/fr/oeuvre/nouvelles/journal-de-guerre