Moi je suis différent, je l'ai toujours été, pour ma mère c'est comme si j'étais un extraterrestre. Je n'ai j'amais été comme les autres. Je pense et j'agis différement. Dès mon plus jeune âje s'évoluait en moi cette particularité. Tout le monde me trouvaient bizarre, et au fond de moi je savais qu'ils n'avaient pas torts. J'avais un tempérament d'adulte, je n'ai jamais su aimé jouer avec mes camarades, j'étais fermé sur moi même et ça me convenais. Beaucoup d'entre eux se moquaient de moi, ils m'appellaient le vieux pour mes tics de style, ma tête qui tremblais à chaque fois que je parle. Mon père était avocat j'adorais me vêtir protocolairement comme lui. J'etais le plus brilliant de l'école mais aussi le plus resèrvé. À la maison ma mère m'a avouer qu'elle ne me comprenait pas. Je lisais tout le temps, j'adorais la peinture et la poésie c'étaient mes passe temps. Quand je n'étais pas à l'école, je restais fermer dans ma chambre avec les même habitudes. C'etait surtout pour ça que j'étais exclusivement seul.
Mon père etant avocat, àprès 15 ans dans l'exercice de son métier. Il fut victime d'un accident de voiture. Il n'a fallut que deux heures pour qu'il meurt. Un ans après sa mort, j'etais chaquer quand ma mère ma dit qu'elle allait se remarier. J'étais si enerver, qu'à la maison je commençait à l'eviter. Je devenais tellement exclusive que j'eus l'impression qu'elle avait peur de moi. Ma propre mère cregnait mes reactions. Malgré mon indifférence à cette décision. Je finissais par l'accepter. neanmoin, je ne me suis jamais habitué à la presence de mon beau-père à la maison. Je le detestais, pour moi il ne faisait pas partie de la famille.
Quand j'eus mes quatorze ans, ma mère voulait à tout prix que je change pour elle, certe j'étais intelligent mais une vie aussi reclue était pitoyable, elle contestait mon mode de vie, elle voulait que je devienne normale comme tout les autres adolescent de mon âge. Elle me proposa de passer moin de temps dans ma chambre pour sortir et me faire des amis. Disant "je suis fier de toi mais il faut que tu change dehors il y a tout un monde". À cette periode , ma vie personnel commençait à devenir très difficile, j'avais la vive impression que je perdais tout. J'avais mal dans ma peau, comme si j'étais absent pendant que le monde tournais. Parfois je pleurais seul dans mon coin. Je me sentais comme un intrus, comme un petit être insignifiant perdu dans l'univers Nonobstant mes effort je ne pouvais pa être normale et j'en souffrais.
À17 ans rien avait toujours changé. Puis vient le jour de l'anniversaire de ma mère. Elle organisait une petite fête à la maison. C'est ce jour là que j'ai rencontrer Alice une charmante jeune fille de l'une des invités par ma mère. On à fait connaissance et on était devenue amis. Au fil du temps progressa notre amitié, on était devenue très proche. On avait l'habitude de souvent se rencontrer, ensemble j'avais beaucoup apris. Parfois on passait tout une journée ensemble, Sa ne la derangeait pas. Sans même m'en rendre compte j'étais devenue fou amoureux d'elle mais autant que mon coeur s'enfflamait autant c'etait difficile pour moi d'être près d'elle. J'avais fait en sorte qu'elle soit partout dans ma chambre; dans mes dessins, dans mes poèmes. Dans tout ce que je faisais il y avait un reflet d'elle. Si quand une personne normale aime quelqun il fait tout pour être avec lui. Moi c'étais différent. Plus je l'aimais plus j'étais distant, plus je l'admirais plus c'étais difficile pour moi de la regarder. L'aimer étais pour moi le plus lourd des fardeaux. De ma vire je ne me suis jamais senti aussi impuissant que quand nos regards se croisaient. Alice était une fille très attachante , elle se sentait snobée et celà l'affectait je ne pouvais pas m'en attaché, c'étais comme ça. Je savais que si j'en faisais ma complice j'allais en souffrir. J'ai toujours senti au plus profond de moi qu'aimé quelq'un pouvais me detruire. Pour moi les sentiments sont une sorte de faiblesse; une lachete que je ne pouvais pas me permettre.
Ça faisais plus de trois semaine que j'avais pris l'habitude de sortir tout les soirs pour noyer mes chagrin s en errant dans les rues. Cela me faisais du bien, du moin j'encaissais mieux cette depression qui me tuais à petit feu. J'étais au bord d'une implosion . je ne pleurais pas mes quand j'étais quelque part ou personne ne pouvais m'entendre je criais pour me vider. Alice me manquais je ne l'avais pas vu depuis un mois . je la fuiyais passant la majorité de mon temps à me persuadé que c'était ce qui est le mieux pour moi. Mais je ne faisais que me torturer moi même.
Je me souviens encore de ce soir où je rentrais très tard pour une ènième fois à la maison. Je pensais que ma mère allait me faire l'une de ces crises. Mais à ma plus grande surprise elle n'avais rien dit. Quand j'ouvris la porte de ma chambre mon coeurs a failli s'arrêter l'orsque j'ai vu Alice par terre, tenant entre ces main tous les portraits que j'avais faits. Je fus ebahi! Je ne pouvais même pas articuler un mot pour lui expliquer tout ça. Elle se leva et sans dire un mot elle me pris la main, nos yeux se sont croisée nos mains se sont touchées et pour la première fois nos lèvres se sont éffleurées. Depuis seul elle à su me combler. Elle ne fut pas l'amour de ma vie mais elle à su animer en moi l'envie de cotoyer quelq'un.
Mon père etant avocat, àprès 15 ans dans l'exercice de son métier. Il fut victime d'un accident de voiture. Il n'a fallut que deux heures pour qu'il meurt. Un ans après sa mort, j'etais chaquer quand ma mère ma dit qu'elle allait se remarier. J'étais si enerver, qu'à la maison je commençait à l'eviter. Je devenais tellement exclusive que j'eus l'impression qu'elle avait peur de moi. Ma propre mère cregnait mes reactions. Malgré mon indifférence à cette décision. Je finissais par l'accepter. neanmoin, je ne me suis jamais habitué à la presence de mon beau-père à la maison. Je le detestais, pour moi il ne faisait pas partie de la famille.
Quand j'eus mes quatorze ans, ma mère voulait à tout prix que je change pour elle, certe j'étais intelligent mais une vie aussi reclue était pitoyable, elle contestait mon mode de vie, elle voulait que je devienne normale comme tout les autres adolescent de mon âge. Elle me proposa de passer moin de temps dans ma chambre pour sortir et me faire des amis. Disant "je suis fier de toi mais il faut que tu change dehors il y a tout un monde". À cette periode , ma vie personnel commençait à devenir très difficile, j'avais la vive impression que je perdais tout. J'avais mal dans ma peau, comme si j'étais absent pendant que le monde tournais. Parfois je pleurais seul dans mon coin. Je me sentais comme un intrus, comme un petit être insignifiant perdu dans l'univers Nonobstant mes effort je ne pouvais pa être normale et j'en souffrais.
À17 ans rien avait toujours changé. Puis vient le jour de l'anniversaire de ma mère. Elle organisait une petite fête à la maison. C'est ce jour là que j'ai rencontrer Alice une charmante jeune fille de l'une des invités par ma mère. On à fait connaissance et on était devenue amis. Au fil du temps progressa notre amitié, on était devenue très proche. On avait l'habitude de souvent se rencontrer, ensemble j'avais beaucoup apris. Parfois on passait tout une journée ensemble, Sa ne la derangeait pas. Sans même m'en rendre compte j'étais devenue fou amoureux d'elle mais autant que mon coeur s'enfflamait autant c'etait difficile pour moi d'être près d'elle. J'avais fait en sorte qu'elle soit partout dans ma chambre; dans mes dessins, dans mes poèmes. Dans tout ce que je faisais il y avait un reflet d'elle. Si quand une personne normale aime quelqun il fait tout pour être avec lui. Moi c'étais différent. Plus je l'aimais plus j'étais distant, plus je l'admirais plus c'étais difficile pour moi de la regarder. L'aimer étais pour moi le plus lourd des fardeaux. De ma vire je ne me suis jamais senti aussi impuissant que quand nos regards se croisaient. Alice était une fille très attachante , elle se sentait snobée et celà l'affectait je ne pouvais pas m'en attaché, c'étais comme ça. Je savais que si j'en faisais ma complice j'allais en souffrir. J'ai toujours senti au plus profond de moi qu'aimé quelq'un pouvais me detruire. Pour moi les sentiments sont une sorte de faiblesse; une lachete que je ne pouvais pas me permettre.
Ça faisais plus de trois semaine que j'avais pris l'habitude de sortir tout les soirs pour noyer mes chagrin s en errant dans les rues. Cela me faisais du bien, du moin j'encaissais mieux cette depression qui me tuais à petit feu. J'étais au bord d'une implosion . je ne pleurais pas mes quand j'étais quelque part ou personne ne pouvais m'entendre je criais pour me vider. Alice me manquais je ne l'avais pas vu depuis un mois . je la fuiyais passant la majorité de mon temps à me persuadé que c'était ce qui est le mieux pour moi. Mais je ne faisais que me torturer moi même.
Je me souviens encore de ce soir où je rentrais très tard pour une ènième fois à la maison. Je pensais que ma mère allait me faire l'une de ces crises. Mais à ma plus grande surprise elle n'avais rien dit. Quand j'ouvris la porte de ma chambre mon coeurs a failli s'arrêter l'orsque j'ai vu Alice par terre, tenant entre ces main tous les portraits que j'avais faits. Je fus ebahi! Je ne pouvais même pas articuler un mot pour lui expliquer tout ça. Elle se leva et sans dire un mot elle me pris la main, nos yeux se sont croisée nos mains se sont touchées et pour la première fois nos lèvres se sont éffleurées. Depuis seul elle à su me combler. Elle ne fut pas l'amour de ma vie mais elle à su animer en moi l'envie de cotoyer quelq'un.