Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les deux. Dans une brousse depuis des années déplacés intérieurement à cause de la guerre qui sevit dans le pays qu'il y a des décennies, les deux villages en ont fait une vie et un seul village passé par une conurbation forcée par les habitants. Le père de Josué blessé et éternel reste à la maison pour son activisme à défendre le pays au front car depuis qu'ils ont commencé à habiter cette brousse, des nombreuses familles étaient anéanties et d'autres déplacées encore. Un jour, des autres personnes ont été venues pour habiter cette brousse, c'était des familles qui parlaient une autre langue, des modes vestimentaires étaient très différentes que ceux d'autochtones, de la couleur de la peau différente aussi.
Campées chez ces personnes trouvées en brousse juste pendant dix minutes, un des enfants de la brousse dit : « -Vous n'êtes pas les bienvenues ici chez nous. On a fui à cause de la guerre de chez vous et vous nous suivez ? Repartez et mourez chez vous là-bas ! ». Lorsqu'ils eurent la chance de capter ces paroles car parmi ces nouveaux venus il y a ceux qui ont fréquenté dans des établissements bilingues où ils viennent c'est alors que l'un d'eux prit la parole en disant : « - S'il vous plaît, nous sommes tous descendants d'Adam, notre premier ancêtre est le même donc nous pouvons vivre ensemble... S'il vous plaît ! ». Après les mots du Chef de cette muraille de la nouvelle-Famille dans cette contrée, les autochtones sortirent avec des armes, des machettes, des flèches, des matériels des guerres de toute nature pour une guerre corps-à-corps. Parmi eux, il y a ceux qui disent : « -ce sont des terroristes même, tuons-les ». Ne se laissant pas faire, ces nouveaux venus prirent également leurs éléments de défense pour une sanglante guerre mais lorsqu'ils voulaient commencer à se lutter, ils entendirent des nombreux cris, des bruits semblables à des combattants malfrats qui attaquent les villages d'alentours ainsi-soit-il les deux laissèrent la bête guerre pour affronter le vrai ennemi de la paix.
Tout en courant avec leurs armes contre l'ennemi, les deux guerriers se concertèrent immédiatement pour repousser l'ennemi d'où ils devinrent d'un même camp, avancèrent, luttèrent puis remportèrent la bataille contre ces ennemies de la paix.
Après la bataille contre les terroristes, les deux chefs de ces deux familles se pardonnèrent et chacune des familles se confia l'une à l'autre. Les familles organisèrent une journée de la fête pour célébrer leurs victoires contre les malfaiteurs, elles égorgèrent des bétails, des chèvres, des coqs et mangèrent puis buvèrent. Ces familles devinrent ainsi des vrais amis attachés indéfiniment jusqu'au point où ses fils et ses filles se marièrent entre eux et continuèrent la vie dans cette brousse abandonnée par la peur.