LE TRÔNE DES SORCIERS

SUIS-je dans le noir ou ai ‘je les yeux fermés ?
Peut être les deux. Cette vie était loin d’être mon rêve. La vie commença sans amour et dans le sang. Rupture et chagrin tout au cours du temps.Ce tyran roi au trône sans lois, était le semeur de l’effroi.Pendant toute sa vie mesquine, devant des gravures aux visages hypocrites, il jetait les hommes dans son chagrin.

Le temps où les mortiers buvaient le sang des chaires, la chaire des petits doux comme la trompette, quand les dents des pilons croquaient les os précaires des enfants aux bouches violettes.
Pilons lourds entre les mains des braves sorcières, sous leurs yeux coulaient des larmes graves, cette eau chaude lavait les joues de ces dernières dans la poussière et coulait jusqu’à la poitrine creuse comme les fosses des inondations fameuses. Leurs lèvres tremblantes et dansantes à la fois au dessous de leurs yeux rouges et sombres de colère. Leur cœur bombé de colère semblable aux pélicans du désert. Combien de litre de sang que le roi sorcier avait bu seul ? Combien de mammifères arrachés de leurs petits ?

La terreur réduisait le trône au silence. Soules et sadique à quoi les sorciers ressemblaient devant le regard rivé des hommes impuissants. Sur leurs pas, ils tremblaient d’où il leurs venaient des larmes et ils se sentaient désarmés.
Au point de mourir, sur ce chemin d’un voyage éternel, piétinant la queue de leur dernier parcours, leur langue broutait leurs derniers discours. Les eaux des puits l’ont été salées comme les guerriers dans les longtemps où le sang était la couleur du temps. Le soleil se couchait dans leurs yeux révulsés.

Le roi sorcier les avait fait subir sa fureur et dans leur âme s’enflammait la douleur.
Ils étaient coupés de leurs racines ténébreuses comme des pauvres usines.
Le roi sorcier aux oreilles de cent centimètres de longueur, aux ongles qui coupent les coupe-ongles, égorgeait la vérité et se glorifiait de la haine en foulant aux pieds les valeurs de la vie. Méchanceté, l’hypocrisie, mensonge et ruse étaient son épée. Dans ce trône, la vie inspirait à une malédiction, peur et panique, on dirait des pécheurs dans les feux de la fournaise. Ce peuple assit sous la neige, mourait d’une chaleur de la fournaise Cent ans hors de la paix, loin des lieux où la paix se décore, ils marchaient aux pieds nus et caftant guenille et leur nez garni de morve. Peau sèche aux poils noirs qu’un fauve, entièrement assit le dos contre les fers de leur enfer, Courbé comme du blé mûr. Leur Ventre creux et collé au sacrum. Ils étaient loin de leur royaume et ils étaient tous exploités tout comme les esclaves du roi et de la reine. Cent ans de famine interrompue et dans ce trône, de l’automne à l’automne c’était la haine qui tonnait.

Je me rappelle bien de ce trône au sein de la forêt, je me rappelle de cette misérable aventure au trône des sorciers. Ce trône au fond de la forêt, des arbres aux troncs gros dressant leurs branches vers le ciel. Là-bas, cette forêt peuplée où vivent les beautés en harmonie de la nature et quelques végétaux été calcinés. Sous les arbres, l’ombre jetait un noir sombre. Rien n’est plus troublant et inquiétant, parfois un bruit effrayant. Les montagnes étaient vêtues de règnes végétaux au près des collines garnies de mauve d’eau. J’apercevais des hommes aux rangs sinueux, leurs bras robustes et pur comme des troncs noueux, sous la belle étoile leurs yeux bleutés de spleen et leur mir mire dans les flots harmonieux. Et mes yeux fixés sur ce peuple menacé durant une longue période.
Je me rappelle bien Quant mon cœur Oufa de surprise d’un oiseau qui abreuvait à la cime d’un arbre. Je marchais entre les morts et les vivants dans l’isolation et dans la terreur sous le ciel plein de cumulus.Je me rappelle bien, quant le soleil s’été couché dans mes yeux hébétés de sommeille. Et que la nuit commençait à étaler son vaste empire dans les flots harmonieux, dans la grande forêt impénétrable la nuit. Je me rappelle quant je poursuivi mes pas sur le dos de l’Afrique, terre garnie de mauve d’eau où viennent altérer les beautés bizarres de la nature. J’enfonçais dans la forêt en soulevant de lourds pas. Je ne me sentais plus à l’aise. Semblable à un mourant, je marchais courbé à moi-même jusqu’au pied d’un grand arbre, un baobab et je baissais mes yeux de péril.
Je me rappelle bien ce lendemain à l’aurore, je s’emparais dans la forêt jusqu’à la première clairière. Je commençais à faire mes pas aimables dans les sables de la terre sédentaire du trône. Soudain je voyais un enfant suivit d’un beau éléphant. Il courait en souriant au vieillard, peau sèche et rude qu’une bête sauvage et rampait comme grimperait une couleuvre vert. J’entendais son bruit dans le profond silence du trône.
Vraiment il méritait une grande aide de ma part.Je me souviens exactement c’était le moment qu’avait apparu le chevale blanc aux sabots carnés. Il était temps que la plaie se ferme. Le chevale blanc, le jour quand il paru, celui qui le montait là-dessus était environner de la poussière. Et les tranchants de son glaive fier égorgeaient les buissons. Les sabots de son chevale chantaient au rythme des violons et jonchaient le sol dans les ténèbres et se pliaient jusqu’aux vertèbres. Il était venu pour vaincre et être le vainqueur et la couleur des défunts fouillait son cœur.
L’heure où les premiers cris du régiment de l’ange gardien, aux yeux rouge et sanglants dans le trône effrayé et mouillé, noir et sombre de fumé où la haine et la jalousie ne se distinguaient. Cet homme bizarre à la beauté si rare qu’une pure et sincère âme gambadant entre les longues rues du trône. Il était noir et vêtu de vertu. C’était une âme purifiée, pur et robuste comme un piquet de fer de qualité destiné à bâtir un bel avenir.
Sa couleur brumeuse comme le dos des lions qui déchirent les chaires des bêtes sauvages au fond fin de l’Amazonie. Et sur ses vêtements ornés de motifs variés, était écrit le nom de chaque sorcier et sorcière du trône. Il était comme un corps pur dans une les eaux tièdes de l’Afrique.D’un coté l’armée sorcière et de l’autre coté l’homme au chevale blanc et son épée au détriment de ses ennemis. Au premier coup d’épée au double tranchant qui déchirait les chaires et les airs, les larmes de sang commencèrent à couler comme des gaves.
Ange gardien, sa colère et sa fureur, quand sorciers et sorcière s’étaient réduits en poudre et cendre, cette foudre que les anges ne voulu faire descendre faisait couler le sang jusqu’au désert.
Quel vaste désert humain ? L’étendu tout entier fut picoré de toutes sortes de pièces du corps humain : bras, jambes, oreilles, nez, doigts toutes par terre. Des têtes aux bouche sèche comme des grains faisaient leur sourire au ciel. Même les oiseaux au sommet des montagnes s’enfuyaient jusqu’aux plages de l’Espagne.