Le trimestre d’une vie

Suis je dans le noir ou ai je les yeux fermés ?
Peut être les deux , telle un éclipse éternelle, solitude et ignorance me mentienent dans un état latent d’obscurantisme profond . Suis je différent ? Non telle est la sombre destinée de la planète dans laquelle nous sommes emprisonnés . Cette planète où mon supplice quotidien n’est pas le trépas mais ce souffle terrifiant qui me transperce chaque matin qui me sort certes d’une solitude obscure mais me dirige tel azraël vers les ténèbres de la servitude .

Soudain un matin ce souffle me parut moins aigre . S’agit t’il de cet journée tant attendue où une faille dans l’austère tourbillon de la vie me permettra enfin d’aspirer à cette vie d’abondance intellectuelle et financière à laquelle nous tous habitant de la planète nous aspirons . Alors que dans mon. Vagabondage je me résignais peu à peu de la venue de cette fabuleuse vie à laquelle j’aspirais sans l’apport d’une contrepartie , je fus. Sa connaissance lui celui donc je n’aurais jamais imaginé rencontrer , celui dont le nom seule maintient toute la planète dans un trou noir ou telle des atomes , l’envie et la peur se rencontre dans ce petit espace vide que l’on appelle notre cerveau . Dès lors malgré toute mon ignorance je le su c’était là cette grande spéculation qu’est la destinée. Pris mon courage à deux mains je l’abordas il me reçu comme s’il m’attendais . Surpris de cet accueil comparable à l’égard de cet entité d’ignorance que je suis , il se produisit en moi un sentiment alors inconnu , celui d’avoir l’incrédule impression d’être moins qu’un ignorant .
C’est alors que lorsque que l’eu pose la question sur ma soit disante appartenance à une destinée supérieur il me répondît < telle une mère j’accueille tout mes enfants peu importe leurs défaut > . Sa réponse me rappela encore une fois mon insignifiance. C’est alors qu’en retourna vers mon supplice quotidien , son appel me parvenu tel un message divin .
Il me promit de son enseignement une meilleure compréhension de ma vie et celle du monde .

Alors que Seulement Une quinzaine de nuitées enveloppées de ses enseignements furent mon
Impatience preuve de mon obscurantismes me poussa à lui demander combien de temps encore me fallait t’il en suivant son enseignement pour atteindre le bonheur sa réponse fut comme un tam tam dont les vibrations envahit mon corps < seule lorsque ta seule préoccupation sera la connaissance et non le temps pour l’acquérir, alors je n’aurais Plus tiens t’apprendre . Mais du moins d’ici 58 lunes ton enseignement seras terminé . >

Enfin cette matinée de la 58 matinée ce souffle qui me paressait toujours telle une rafale de balles me tranperca dès lors comme un chant de sirène . C’est alors que la cacophonies habituelles de mon bidonville me berçant tel un orchestre philharmonique sur la route Vers la connaissance de mon dernier enseignement . Que les derniers enseignements de mon maître au vu de connaissances acquises depuis lors comme une l’amputation d’un de mes membres car cela fut nécessaire pour mon édification mais douloureux car cela me rappela la tâche ardu et la détermination qui devra être .

De cette bibliothèque où je découvrit ce livre qui fut mon compagnon pendant près d’un trimestre , à la fin je découvrit cet enseignement < la mouise n’est pas encore entre dans l’histoire > .