Toute histoire commence par jour quelque part et finit parfois dangereuse ou moins dangereuse quelque part.
Nous autres, générations d'aujourd'hui, nous avons des droits et devoirs à réclamer et à assumer.
Nous avons entendu parler de droits et devoirs descendus au fond inexploitable des respects et d'ententes .Leur genèse et leurs utilités avec leurs floraisons, leurs applications et symbolisme, leurs suggestion et les suggestions de leurs suggestions, et leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savons bien que toute leur présence est importante et que leur importance signifie quelque chose. Nous apercevons à travers l'épaisseur de leur utilité , les hommes d'immenses optimismes qui furent chargés de conscients et de connaissances. Nous ne pouvons pas les compter. Mais cette importance, après tout ,était notre affaire,
Mais Ce n'est pas tout. La brûlante question de complémentarité entre ces deux notions est plus complexe encore. Il n'a pas suffit à la génération de Kankou Fofana et de Gaston Loua d'apprendre par sa propre expérience comment les plus belles choses, les plus vieux,les plus formidables et les plus ordonnées sont garantis dans l'État de droits : voilà, aujourd'hui le monde actuel avait bien commencé cette histoire de complémentarité mais hélas, les générations actuelles réclament ses droits et n’assument pas ses devoirs, où est la complémentarité ? Et si elles continuent à réclamer ses droits quel seras le sort de ne pas assumer ses devoirs ? Cette histoire dangereuse entre droits et devoirs est-elles moins ou plus dangereuse ?