Coup de gueule du poète !
CONNARD VIRUS !
Et oui, messieurs les financiers, de cette Europe du fric, vous, qui avez oublié l’humain !
Les politiques prennent soudain conscience que nous avons besoin d’infirmières, de médecins, d’hôpitaux....
Combien de manifs, de colère, pour vous alerter, ou simplement pour vous dire d’arrêter le massacre ! Mais bon dieu ! Nous sommes au XXI° siècle, et vous avez osez nous embarquer pour ce voyage dans le passé, nous voilà retourné à l’époque de Zola !
Puis le voilà, comme Attila, alors plus de bourgeois, de privilégiés, ni d’ouvriers, ni gauche, ni droite
Les hordes tueuses, infectieuses frappent sans distinction...
Il a suffit d’une pandémie, à cause d’un ennemi sournois
Pour nous rappeler que nous ne sommes rien, le microbe foudroie !
Après l’orage, un conseil, revoyez votre copie et mettez l’humain avant le fric !
Rien ne peut remplacer les services publics, ce qui a fait la grandeur de notre pays, le monde a rêvé de France et non d’Amérique dans ce pays où les pauvres sont traités moins que des chiens !
Avec leurs prisons où croupissent des milliers d’innocents, un service de santé réservé pour les riches !
J’espère que le connard-virus va contribuer à faire réfléchir, car le virus le plus dangereux c’est le Dieu dollar !
Barbier Philippe poète.
CONNARD VIRUS !
Et oui, messieurs les financiers, de cette Europe du fric, vous, qui avez oublié l’humain !
Les politiques prennent soudain conscience que nous avons besoin d’infirmières, de médecins, d’hôpitaux....
Combien de manifs, de colère, pour vous alerter, ou simplement pour vous dire d’arrêter le massacre ! Mais bon dieu ! Nous sommes au XXI° siècle, et vous avez osez nous embarquer pour ce voyage dans le passé, nous voilà retourné à l’époque de Zola !
Puis le voilà, comme Attila, alors plus de bourgeois, de privilégiés, ni d’ouvriers, ni gauche, ni droite
Les hordes tueuses, infectieuses frappent sans distinction...
Il a suffit d’une pandémie, à cause d’un ennemi sournois
Pour nous rappeler que nous ne sommes rien, le microbe foudroie !
Après l’orage, un conseil, revoyez votre copie et mettez l’humain avant le fric !
Rien ne peut remplacer les services publics, ce qui a fait la grandeur de notre pays, le monde a rêvé de France et non d’Amérique dans ce pays où les pauvres sont traités moins que des chiens !
Avec leurs prisons où croupissent des milliers d’innocents, un service de santé réservé pour les riches !
J’espère que le connard-virus va contribuer à faire réfléchir, car le virus le plus dangereux c’est le Dieu dollar !
Barbier Philippe poète.
Julien.