— Marguerite, je t'avais dit de pas voler ce chat ! Il est noir, tout noir !
— Mais la voisine ne s’en occupait pas, il allait se faire écraser, il était toujours sur la route ... [+]
Un Laveur de ciel et une Voleuse de matins
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Finaliste
Jury
Jury
Alors
comme il était l'heure de rencontrer la Terre
Elle mit ses yeux de soie sur l'infini fragile
De l'autre côté, loin, ailleurs
pour nectariser le jour des ses rêves audacieux
Elle ouvrit la fenêtre. Un oiseau se moqua
Ses yeux à peine ouverts lui dérobaient le monde...
Elle ne vit pas l'ombre
que lui lançait
Moqueur et troubalnt
Le soleil du matin, un soleil affamé
Gourmandeur de vie...
L'ombre-Devinez,-On est de l'autre côté
C'était un homme-enfant
là-haut sur un nuage-satin
un enfant Peter Pan
égaré dans ses rêves
Il dessinait des mots
et ouatinait l'espace
de ses rires insolents...
Elle ne sut pas pourquoi
mais l'amour se glissa au fond de ses yeux-soie
Elle tendit la main et c'était vraiment loin...
Un bras la saisit et puis il l'emporta
Laver le ciel à deux, c'était drôle et joli
Elle vola le matin dans ses plus beaux atours
Lui donna la rosée des jardins oubliés
Il posa un baiser sur ses lèvres si sages
et leurs yeux se burent jusqu'à la déraison
C'était un instant un instant de vie, une magie fragile,sublime
Vous comprenez ? Il ne fallait pas en parler...
Pendant ce temps-là
La Terre s'étirait. Dans le ciel, des oiseaux volaient. Rien n'avait l 'air d'avoir changé....
mais on était de l'autre côté...
comme il était l'heure de rencontrer la Terre
Elle mit ses yeux de soie sur l'infini fragile
De l'autre côté, loin, ailleurs
pour nectariser le jour des ses rêves audacieux
Elle ouvrit la fenêtre. Un oiseau se moqua
Ses yeux à peine ouverts lui dérobaient le monde...
Elle ne vit pas l'ombre
que lui lançait
Moqueur et troubalnt
Le soleil du matin, un soleil affamé
Gourmandeur de vie...
L'ombre-Devinez,-On est de l'autre côté
C'était un homme-enfant
là-haut sur un nuage-satin
un enfant Peter Pan
égaré dans ses rêves
Il dessinait des mots
et ouatinait l'espace
de ses rires insolents...
Elle ne sut pas pourquoi
mais l'amour se glissa au fond de ses yeux-soie
Elle tendit la main et c'était vraiment loin...
Un bras la saisit et puis il l'emporta
Laver le ciel à deux, c'était drôle et joli
Elle vola le matin dans ses plus beaux atours
Lui donna la rosée des jardins oubliés
Il posa un baiser sur ses lèvres si sages
et leurs yeux se burent jusqu'à la déraison
C'était un instant un instant de vie, une magie fragile,sublime
Vous comprenez ? Il ne fallait pas en parler...
Pendant ce temps-là
La Terre s'étirait. Dans le ciel, des oiseaux volaient. Rien n'avait l 'air d'avoir changé....
mais on était de l'autre côté...