Je vis dans une bulle d'air primordial
Dans le ventre d'un colosse abyssal
Dont les os sont noirs
Dont le sang est d'encre
Où
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Palpitations et conversations (chapitre douze)
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Je manque d'air et je ne peux rien y faire. Je suis né en étouffant et je vis en m'asphyxiant. C'est ainsi que naissent mes poèmes!
L'oxygène à quoi çà sert dans un monde sans atmosphère. Dans la misère de ma condition humaine, c'est ainsi que naissent mes poèmes... Comme autant de bols d'air !
Je me répète trop souvent sans pouvoir vraiment choisir le moment. Mon cerveau me joue mille tours dès que pointe le petit jour. Je redoute chaque fois ce raz de marée. Mon soucis est de ne pas perdre pied. Mon cerveau me force à mille détours et s'apaise parfois à force d'amour.
Je me répète trop souvent sans pouvoir vraiment choisir le bon moment . A genou, face à l'horloge du temps.
Lorsqu'un petit enfant naît, le monde soudain devient plus beau, l'univers devient plus chaud. Lorsqu'un petit enfant paraît, un nouvel écho résonne dans les cœurs des hommes. Rien ne peut nous soustraire à ce cri et à notre propre mystère.
Vivre pour soi, vivre pour les siens... Avons-nous le choix de notre destin? Avons-nous le choix de vivre en nous? Seuls nous ne sommes rien, ensemble nous sommes tout.
L'oxygène à quoi çà sert dans un monde sans atmosphère. Dans la misère de ma condition humaine, c'est ainsi que naissent mes poèmes... Comme autant de bols d'air !
Je me répète trop souvent sans pouvoir vraiment choisir le moment. Mon cerveau me joue mille tours dès que pointe le petit jour. Je redoute chaque fois ce raz de marée. Mon soucis est de ne pas perdre pied. Mon cerveau me force à mille détours et s'apaise parfois à force d'amour.
Je me répète trop souvent sans pouvoir vraiment choisir le bon moment . A genou, face à l'horloge du temps.
Lorsqu'un petit enfant naît, le monde soudain devient plus beau, l'univers devient plus chaud. Lorsqu'un petit enfant paraît, un nouvel écho résonne dans les cœurs des hommes. Rien ne peut nous soustraire à ce cri et à notre propre mystère.
Vivre pour soi, vivre pour les siens... Avons-nous le choix de notre destin? Avons-nous le choix de vivre en nous? Seuls nous ne sommes rien, ensemble nous sommes tout.
Au lendemain orphelin il me faut à nouveau rouler ces mots vers le sommet.
Merci de cet appel à faire équipe.