Toute histoire commence un jour, quelque part, ainsi a commencé celle d'un homme bienfaiteur. En se promenant sur l'une des routes de N'djamena à une époque où le racisme battait toujours son record au Tchad, trois amis musulmans et nordistes ont vu un homme du sud non musulman. Il était soldat et chauffeur et à ce moment, il était seul, fatigué, affamé et sa voiture était en panne.
Comme partout et quand, parmi les hommes, les bienfaiteurs sont moins nombreux, un seul parmi les trois amis a voulu l'aider. Les deux autres n’étaient pas de cet avis, il n’était pas question pour eux d’aider un sudiste non-musulman qui n’aurait aucune pitié pour eux s’ils étaient à sa place. Pour empêcher leur ami de l'aider, ils utilisent tous les arguments possibles. Conscient que l'Islam lui dit de faire du bien en vers quiconque, même en vers les animaux, il ne l'a pas laissé, il a choisi d'aider cette personne et il lui a donné une partie de l'argent qu'il a et elle l'a remercié.
Après des années, les trois amis étaient pour des raisons commerciales dans le sud du pays, où les musulmans sont moins nombreux lorsqu'un conflit a éclaté entre les deux communautés, musulmane et non musulmane. Les non-musulmans décident de massacrer les musulmans. Les trois amis ont été arrêtés. Hasard de l'histoire et heureusement pour eux, l'homme dont l'un d'entre eux l'a aidé une autre fois, est l'un des chefs de ceux qui les ont arrêtés. L'homme les a reconnus mais ils ne l'ont pas fait. La nuit tomba, aussitôt, secrètement, il fait sortir celui qui l'aida des prisonniers et tente de savoir s'il le reconnaît. Ce dernier ne le reconnaît pas. Il lui raconte l'histoire et exprime combien son aide était pour lui. Un bienfaits a toujours des retombés positives. Il a vu qu'aujourd'hui c'est celui qui l'avait aidé et qui a besoin d'aide. Il lui a fait savoir qu'il l'aide et lui a dit qu'il pourrait les sauver. Avec la complicité de certains gardes, il a fait sortir non seulement les trois amis mais encore plus de gens, ceux qu'il peut sauver. Il les a menés et les a laissés hors de portée de leur ennemi, sa communauté.
Comme partout et quand, parmi les hommes, les bienfaiteurs sont moins nombreux, un seul parmi les trois amis a voulu l'aider. Les deux autres n’étaient pas de cet avis, il n’était pas question pour eux d’aider un sudiste non-musulman qui n’aurait aucune pitié pour eux s’ils étaient à sa place. Pour empêcher leur ami de l'aider, ils utilisent tous les arguments possibles. Conscient que l'Islam lui dit de faire du bien en vers quiconque, même en vers les animaux, il ne l'a pas laissé, il a choisi d'aider cette personne et il lui a donné une partie de l'argent qu'il a et elle l'a remercié.
Après des années, les trois amis étaient pour des raisons commerciales dans le sud du pays, où les musulmans sont moins nombreux lorsqu'un conflit a éclaté entre les deux communautés, musulmane et non musulmane. Les non-musulmans décident de massacrer les musulmans. Les trois amis ont été arrêtés. Hasard de l'histoire et heureusement pour eux, l'homme dont l'un d'entre eux l'a aidé une autre fois, est l'un des chefs de ceux qui les ont arrêtés. L'homme les a reconnus mais ils ne l'ont pas fait. La nuit tomba, aussitôt, secrètement, il fait sortir celui qui l'aida des prisonniers et tente de savoir s'il le reconnaît. Ce dernier ne le reconnaît pas. Il lui raconte l'histoire et exprime combien son aide était pour lui. Un bienfaits a toujours des retombés positives. Il a vu qu'aujourd'hui c'est celui qui l'avait aidé et qui a besoin d'aide. Il lui a fait savoir qu'il l'aide et lui a dit qu'il pourrait les sauver. Avec la complicité de certains gardes, il a fait sortir non seulement les trois amis mais encore plus de gens, ceux qu'il peut sauver. Il les a menés et les a laissés hors de portée de leur ennemi, sa communauté.