Toute histoire commence un jour, quelque par une mélancolie m'a atteint ce matin dans toutes les profondeurs de mon être, où elle s'abstient de prêcher tout l'ordre et les normes d'un petit virus chronique, où le monde s'écroule comme un petit château de film de fin du monde, la nuit qui est portée sur les conseils n'a pas été généreuse, elle était monstrueuse par la sonorité des voix incessantes qui me rappelle des profondes mélodies d'un être angélique, est ce responsable de les entendre, je ne pense guère, mais le choix n'est plus à la portée de mes écoutes, les yeux m’échapperont pour se faufiler dans le sombre éclatement d'étoiles de la nuit, j'ai combattu comme un gladiateur des temps romains mais en vain, ma vue s'en est réduit à revoir des certaines images sans passions et sans bonheur, je détesterais ma peine si elle était si grande au moment de rendre possible un autre avenir plein de chaleureuses intentions. J'écris j'écris sans que je sois à la hauteur de mes pensées, sans que l'écoute soit témoin dans ce marasme sans dessins, mon obsession par delà mes pensées moroses est l'aventure dans un univers pas toujours connu mais accompagné d'une muse adorée, j'aurais changé mon écriture pour la rendre plus triste et moins attrayante pour des lectures effrayantes, la théorie dit que; écrire pour être lu, mais souvent nous écrivons pour être entendu.