Toute histoire commence un jour, quelque part et finit parfois en contrainte.
Y aller comme un zèle maladroit etait tout ce que l'on savait faire au pays Bamba. Hommes,femmes,enfant etaient tous deçus dans leur plus profond,deçus des maux emanant des doctrines pernicieuses. <>disaient-ils! Quont- ils detruits? Qu'ont-ils brisés?
Ce pays avec avec une histoire riche,remplie d'emotions et de succès. Prospère et plein par le passé, pauvre et vide dans le present,fiscélé en pensée pensante, inspire aujourd'hui le mepris de la mefiance.
La deception elle est grande et enorme pour ce pays aux rêves devenus cauchemars. La honte à frapper, ils s'enfoncèrent dans une hypocrisie d'autant plus audieuse qu'ils ont de moins en moins des chances de prouver.
<> chacun ce qu'il lui venait à la tête. De tout les rois qui sont passés il fait le moins.
Le monde de la tyranie nous n'y sommes plus,la monarchie elle est etteinte,la Democratie elle effleurée.
Candeurs et convaincs,qu'ils etaient aujourd'hui ils en regrettent.
Dans la vie on a toujours le choix entre avancer et reculer mais en reculant on ne peut jamais rattrapé les rerreurs du passé,mais ce pays ne savait plus quoi faire d'autre que de chasser ce chef obsédé par le mal.
Une nouvelle ère a debuté et tous sembleent être dans une bonne impasse.
Un nouveau leader est à la tête, l'espoir semble être retrouvé le sourire est lisble sur les leèvres de chacun. Mais serait-ils à la hauteur? Tout se saura.
Du desespoir au cahot,ces pauvres paysans viennent de se heurter à leur propre sort. Ce jour la sous le chaud soleil brulant,tous etaient reunient au niveau de la place public dediée au matyrs pour acclamer et applaudire ce discours béant du nouveau leadership. En realité chacun acceptait ses malheurs et ses souffrances.
De la crise au cauma
La pauvrété commence à frapper le pays, les terres deviennent steriles,les maladies sont en masses. Mais tout cela n'etait plus le problème du president...
Les enfants n'etudissent plus, les secteurs de travail ne sont plus fonctionnels, les hopitaux manquent de personnels.
L'heure de la chutte à sonner,le cahot du desespoir. Ce pays finissait à petit feu.
Après de longues années de perpetuelles soufrances chacun repris conscience. Parce qui abime s'abime et sur ce ce pays y trouve son point saillant,car entre l'amour et la haine il n'ya aucun milieu.