Toute histoire commence un jour, quelque part, et pour une cause. L'important, c'est qu'elle soit un jour racontée, à tous ceux qui se disposent à l'écouter. L'histoire de cette Alliance a commencé un jour, sur une île, pour la vie de Martin.
Marcel et Martin sont deux jumeaux issus d’une famille riche de France. Leurs parents ont pu s’offrir un îlot dans les caraïbes, sur lequel ils veulent bâtir un hôtel de luxe, puisque dans la région des caraïbes, demeure un climat tropical.
Sur cette île, le soleil apparaît au petit jour, la nature est assez romantique à faire calmer la colère des dieux ; on y trouve, des sources d’eau chaudes, une flore épanouissante, et des espèces d’oiseaux les plus rares de la planète jouissant de la verdure de l’île. Dans la journée, comme dans la nuit, en absence de Beethoven ou de Mozart, c’est le concert des animaux qui s’anime. Un jour, les parents de Marcel et de Martin décident de se rendre en Amérique pour les vacances d’été, et ont choisi d’emmener leurs fils visiter cette île paradisiaque, qu’ils appellent « l’Île François », appellation dérivée de leur nom patronymique.
Pour le séjour, M. et Mme. François partent accompagnés de leur servante, une algérienne, qui s’occupe de leurs repas tous les jours. Cette dernière, ayant été formée en hôtellerie et en cuisine en France, a dû se faire une place dans cette résidence, en raison de son savoir-faire. De la Martinique étant, territoire français d’outre-mer, les vacanciers prennent un hélicoptère pour « l’île François ». À bord se trouvent, M. et Mme. François, Marcel et Martin, Karyne la servante, accompagnée de son fils Akym qu’elle a supplié à M. François d’emmener avec elle, afin qu’elle ne soit pas trop loin de celui-ci, puis, le pilote. Marcel et Martin, hyper excités de découvrir ce joyau caché dans les caraïbes, discutent durant toute la traversée des avantages que peut leur procurer cet investissement ; jeune ingénieur en génie civil, Marcel a hâte de voir démarrer un tel projet.
L’ambiance est euphorique, le pilote un peu distrait, perd le contrôle de l’appareil au moment de l’atterrissage, et l’hélicoptère a fait un crash. Quelques minutes plus tard, l'un après l'autre, les voyageurs sortent de cet appareil se trouvant incliné au sol, tout en grimaçant. Ils sont tous sortis vivant de l’accident, cependant pour Martin, la situation s’est révélée plus complexe, il n'a pas pu sortir tout seul, puisqu'une tige d’acier de l’appareil lui a perforé le dos. Le pilote, étant un secouriste, offre les premiers soins à Martin, mais ce dernier a déjà perdu beaucoup trop de sang. Pendant que les parents essaient d’appeler les secours de la Martinique, le pilote et Marcel s’occupent de Martin, et parviennent à freiner l’hémorragie. Constatant son pouls très faible, soudainement le pilote crie : « Faites quelque chose ! Il va bientôt céder... »
Pas de sérum disponible pour lui administrer, isolé sur une île, tout le monde est angoissé. Les secours ont finalement répondu, et informent à monsieur François qu’ils doivent arriver dans trente minutes, alors que Martin, plongé dans l’inconscient, ne peut attendre plus que dix minutes avant de lâcher. Pour le garder encore quelques instants, il lui faut une transfusion sanguine sur le champ. La réalité s’est imposée entre, regarder Martin s’endormir du sommeil de la tombe, ou, lui trouver du sang quels que soient les risques éventuels. Pour des raisons de santé, les parents de Martin savaient qu’ils n’y peuvaient rien en pareille circonstance. Mais sur les lieux, sauf Akym, le fils de l’étrangère, étant un donneur universel pouvait le sauver ; et Akym s’est porté volontaire.
Affligé, Marcel tourne les yeux vers Akym, 19 ans, portrait craché de son père congolais, connaissant son frère Martin, il a hésité sur cette proposition ; mais il s’est mis à regarder son frère mourant et dit : « Allez-y, faites vite ! » Ainsi, le pilote procède à une transfusion directe du sang d’Akym dans les veines de Martin. A rappeler que lors du dernier test d’évaluation de Martin à sa faculté d’économie, il avait 23ans, ce jour-là, il a refusé catégoriquement d’effectuer son examen, puisqu’il y eu un noir congolais à s’assoir trop près de son siège au moment du test. Heureusement qu’Akym était en très bonne santé, la tentative de sauver Martin sur l’île a réussi.
Un an après, en mémoire de ce terrible événement, la famille François se réunit pour un dîner spécial, sont aussi invités, la servante et son fils, on raconté à Martin tout ce qui s’est passé sur l’île pendant qu’il était tombé en syncope. Confus, il ne libère pas un mot. Et Marcel se déplace tranquillement vers Martin, posant sa main droite sur son épaule, et lui dit : « mon cher frère, la vie n’a pas de couleur, l’humanité est un cadeau dont on ne saurait estimer le prix. »
Six ans plus tard, ils donnent à cet hôtel le nom de « Hôtel de l’Alliance », et ont choisi d’embaucher des hôtesses et chefs de cuisine venant du Congo, de l’Algérie et de la France.
Marcel et Martin sont deux jumeaux issus d’une famille riche de France. Leurs parents ont pu s’offrir un îlot dans les caraïbes, sur lequel ils veulent bâtir un hôtel de luxe, puisque dans la région des caraïbes, demeure un climat tropical.
Sur cette île, le soleil apparaît au petit jour, la nature est assez romantique à faire calmer la colère des dieux ; on y trouve, des sources d’eau chaudes, une flore épanouissante, et des espèces d’oiseaux les plus rares de la planète jouissant de la verdure de l’île. Dans la journée, comme dans la nuit, en absence de Beethoven ou de Mozart, c’est le concert des animaux qui s’anime. Un jour, les parents de Marcel et de Martin décident de se rendre en Amérique pour les vacances d’été, et ont choisi d’emmener leurs fils visiter cette île paradisiaque, qu’ils appellent « l’Île François », appellation dérivée de leur nom patronymique.
Pour le séjour, M. et Mme. François partent accompagnés de leur servante, une algérienne, qui s’occupe de leurs repas tous les jours. Cette dernière, ayant été formée en hôtellerie et en cuisine en France, a dû se faire une place dans cette résidence, en raison de son savoir-faire. De la Martinique étant, territoire français d’outre-mer, les vacanciers prennent un hélicoptère pour « l’île François ». À bord se trouvent, M. et Mme. François, Marcel et Martin, Karyne la servante, accompagnée de son fils Akym qu’elle a supplié à M. François d’emmener avec elle, afin qu’elle ne soit pas trop loin de celui-ci, puis, le pilote. Marcel et Martin, hyper excités de découvrir ce joyau caché dans les caraïbes, discutent durant toute la traversée des avantages que peut leur procurer cet investissement ; jeune ingénieur en génie civil, Marcel a hâte de voir démarrer un tel projet.
L’ambiance est euphorique, le pilote un peu distrait, perd le contrôle de l’appareil au moment de l’atterrissage, et l’hélicoptère a fait un crash. Quelques minutes plus tard, l'un après l'autre, les voyageurs sortent de cet appareil se trouvant incliné au sol, tout en grimaçant. Ils sont tous sortis vivant de l’accident, cependant pour Martin, la situation s’est révélée plus complexe, il n'a pas pu sortir tout seul, puisqu'une tige d’acier de l’appareil lui a perforé le dos. Le pilote, étant un secouriste, offre les premiers soins à Martin, mais ce dernier a déjà perdu beaucoup trop de sang. Pendant que les parents essaient d’appeler les secours de la Martinique, le pilote et Marcel s’occupent de Martin, et parviennent à freiner l’hémorragie. Constatant son pouls très faible, soudainement le pilote crie : « Faites quelque chose ! Il va bientôt céder... »
Pas de sérum disponible pour lui administrer, isolé sur une île, tout le monde est angoissé. Les secours ont finalement répondu, et informent à monsieur François qu’ils doivent arriver dans trente minutes, alors que Martin, plongé dans l’inconscient, ne peut attendre plus que dix minutes avant de lâcher. Pour le garder encore quelques instants, il lui faut une transfusion sanguine sur le champ. La réalité s’est imposée entre, regarder Martin s’endormir du sommeil de la tombe, ou, lui trouver du sang quels que soient les risques éventuels. Pour des raisons de santé, les parents de Martin savaient qu’ils n’y peuvaient rien en pareille circonstance. Mais sur les lieux, sauf Akym, le fils de l’étrangère, étant un donneur universel pouvait le sauver ; et Akym s’est porté volontaire.
Affligé, Marcel tourne les yeux vers Akym, 19 ans, portrait craché de son père congolais, connaissant son frère Martin, il a hésité sur cette proposition ; mais il s’est mis à regarder son frère mourant et dit : « Allez-y, faites vite ! » Ainsi, le pilote procède à une transfusion directe du sang d’Akym dans les veines de Martin. A rappeler que lors du dernier test d’évaluation de Martin à sa faculté d’économie, il avait 23ans, ce jour-là, il a refusé catégoriquement d’effectuer son examen, puisqu’il y eu un noir congolais à s’assoir trop près de son siège au moment du test. Heureusement qu’Akym était en très bonne santé, la tentative de sauver Martin sur l’île a réussi.
Un an après, en mémoire de ce terrible événement, la famille François se réunit pour un dîner spécial, sont aussi invités, la servante et son fils, on raconté à Martin tout ce qui s’est passé sur l’île pendant qu’il était tombé en syncope. Confus, il ne libère pas un mot. Et Marcel se déplace tranquillement vers Martin, posant sa main droite sur son épaule, et lui dit : « mon cher frère, la vie n’a pas de couleur, l’humanité est un cadeau dont on ne saurait estimer le prix. »
Six ans plus tard, ils donnent à cet hôtel le nom de « Hôtel de l’Alliance », et ont choisi d’embaucher des hôtesses et chefs de cuisine venant du Congo, de l’Algérie et de la France.