«Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appellerai pas maître», ma vive protestation à un certains à un jeune homme d'affaire, millionnaire chez qui je faisais quelques travaux ménagers. Hommes sans pitié qui voulait trop de moi malgré mes efforts. Il n'est jamais satisfait, son nom est Youssef Ali. Je suis Adoumadji Fermaud, un jeune qui a un avenir caché sur le soleil. Ma mère qui m'aime tant n'avait jamais cessé de croire en moi. A part elle j'étais considéré comme un fardeau pour les autres. Qui suis-je? Qu'ai-je?Que se cache derrière ma vie?Dieu a-il un plan spécial pour moi? Je n'en doute pas. Sont-ils tous passés par là, les grands de ce monde comme le dit ma mère?peut-être mais je n'en sais rien.
Mon histoire a commencé à l'age de 14 ans dans une province situé à 150 kilomètres de la Capitale N'Djamena où mon père travaillait comme agent des eaux et forets. J'étais très timide et très têtue mais assez brillant à l'école. Mon papa qualifiait mon caractère à un trouble lié à la puberté qu'il fallait corrigé avec de la chicotte. Cette théorie de mon père n'était pas vrai selon moi qui croyais pas à cette crise de puberté.Il me punissait durement et sévèrement. Dans notre famille, nous sommes cinq (5) enfants dont deux (2) garçon et trois filles.
Je suis quelqu'un qui décide de ce que je veux et personne ne peut me dicter ses principes. À l'age de 18 ans j'avais composé pour la première fois le baccalauréat série scientifique et j'avais connu l'échec, l'échec que mon père qualifiait la cause d'incapacité et amusement mais moi qui voyais toujours différente les chose poussais comme arguments l'enclavement de la localité, le manque des enseignants qualifiés et le manque des bibliothèques. Mon échec m'avait tellement traversé que je ne pouvais rester dans cette localité pour des jours encore. C'est ce qui m'avait tellement mis mal à l'aise et de plus le fait que mes amis qui étaient médiocres et dont leurs réputations étaient mauvaises à l'école vu leurs résultats trimestriels avaient décrocher le baccalauréat. Une semaine après cela, j'avais décidé de changer de milieu et mon choix était portée sur la capitale N'Djamena. Mon papa était d'avis avec moi et décidait que je parte rester avec son oncle. C'est ainsi que j'ai quitté la région pour le calvaire. Je suis venu resté avec un oncle pour qui je ne comptais pas du tout. Je fait trois à quatre kilomètre pour aller à mon école. Je ne trouve rien comme manger le matin et le soir à mon retours je passe quelques fois des nuit avec un ventre creux. De cela s'ajoute le poids des activité de la maison qui repose sur moi. Je suis le garçon qui me lève tôt et qui s'en dors toujours tard. A l'école je suis le seul garçon à venir toujours en retard et qui somnole en classe. Je ne cesse de me demander pourquoi ai-je laisser mes parents pour venir souffrir de la sorte? Pourquoi suis-je le seule à souffrir ainsi ?Je me réfère souvent à ma bible que je ne manquait de porter sur moi.La promesse faite dans Josué 1:9, je cite « Je t'ai donné cet ordre:Prends courage et tient bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer, car moi , l'Éternel ton Dieu, je serai avec toi pour tout ce que tu entreprendras ». Cette parole me réconfortais quand je perdais des espoir.
Quand les résultats du baccalauréat était affichés, j'étais a admis avec la mention bien avec une moyenne de 14,17 sur 20; Or par le passé tout ceux qui obtenaient le bac avec une moyenne supérieure ou égale à 12 bénéficiaient automatiquement des bourses d'études, mais ce n'était pas le cas à notre année. Tout ce qui avait reçu la bourse était les enfants des ceux qu'on appelle ‘Kibamba' signifiant riches.Ils sont à majorité les enfants de ceux qui travaillent au gouvernement. Pourquoi mon Dieu ? M'exclamais-je! Après cela j'avais passer au moins cinq concours des écoles professionnelle du pays mais aucun chance ne m'est sourie. Là j'ai décidé de déposer mes dossier pour être à l'université. J'avais déposé ma demande à l'université en Science Biologique et en Mathématiques. Malgré que j'avais 18 de moyenne en Biologie je n'étais pas retenu sur la liste.Il a fallu l'intervention d'un enseignant-chercheur de la faculté qui connaissait mon papa pour plaider ma cause. Selon lui il fallait mouiller les barbes ou donner un pot de vin pour être recruté.Là encore ce n'était que le début de mes souffrances.
L'université était à 20 km de là où je vivais et on partais quelques fois en bus estudiantin et de fois où je ne trouvais pas d'argent pour payer le transport je dormais à la faculté. Ma souffrance ne cessait de croître, là j'ai décidé d'aller habiter chez un oncle qui l'accepte aussi. Je fait deux ans avec lui tout en travaillant comme un esclave. Je me lève le matin pour laver sa voiture, nettoyer la cours, arroser les fleures et cirer ses chaussure. Je passais pour la deuxième année où j'ai fait le concours d'une école des Technologie de l'Information et j'obtiens le concours pour la filière Télécommunications. J'ai poursuivi ces deux formation situé l'un à 10 kilomètre de l'autre avec courage et espoir en dépit de tous les maux. A la préparation de mon soutenance en Télécommunication je devais passer un stage académique. Mon entreprise d'accueil du stage était à 20 Kilomètre de chez moi. C'étais à calvaire car je n'avais pas de moyen de déplacement ni de moyen nécessaire de payer les transports en commun. J'ai contacté une tante qui acceptais de m'héberger juste pour les deux mois prévu pour mon stage. J'avais passé deux moi chez cette dernière mais concrètement pour mon stage, au premier moi je n'avais pas trouver d'encadreur et il fallait encore augmenter un mois de plus. Ma tante qui avait accepté ma présence pour une durée de 2 deux mois refusais me mettais dehors juste à deux jours de plus de la durée accordée. Ne sachant quoi faire j'ai trouvé refuge dans mon école qui se trouvais à 7 km de mon lieu de stage. Là j'ai passé deux mois sans une provision, sans un équipement nécessaire pour la santé. Je dors sans moustiquaire et ne vis que par la grâce de Dieu comme le disait le monde. J'avais traversé de moment alarmants. Pendant tout ce temps personne de chez moi ne demandait de mes nouvelles, personne ne me donnait même un centimes. J'avais traversé les océans et les mers tout seul. Lors de mon soutenance, je n'étais que seule face au Jury, personne ne s'était présente. Si me parents étaient à la capitale ils n'allaient jamais me laisser seul. J'avais soutenu avec Mention bien ce jour là avec les larmes au yeux. Ce larme qui coulaient, beaucoup pensaient que c'était des émotions suite à ma note mais loin de là. C'était parce que j'étais seul, tout seul à soutenir. Durant mes séjours à l'école, j'ai rencontré un monsieur m'avait identifié. C'était un multimillionnaire habitant non loin de mon école. Il arrive vers moi.
— Bonsoir jeune homme, dit-il.
—Bonjour papa, ai-je répondu.
— Comment vas-tu ? Et tes cours ?
— Je lui ai répondu, Je vis par la grâce de Dieu et tout va bien.
— Je ne pense pas que tout vas bien chez toi, dit-il !
Qui est-il et que veut-il concrètement lui ?me suis-je dit intérieurement. Après un silence.
— Il dit, je t'ai remarqué depuis un certains temps que tu dors ici dans cette école, alors qu'est ce qui va pas?insistait-il. Il poursuit de dire, j'ai également traversé de moment pire et je vois la souffrance dans tes yeux.
Là, il me touchait profondément, il me dit mon fils, je sais que t'es un homme fort et je te dis une chose que tu dois graver dans la table de ton cœur pour partager avec tes enfants : ‘la vie est un combat, un combat où tous les coups sont permis' tu dois apprendre à faire la différence entre trois types de personnes : ‘les adhérents, les camarades et les confidents'. C'est ainsi qu'il m'a proposé un travail chez lui et j'ai accepté.
Mon histoire a commencé à l'age de 14 ans dans une province situé à 150 kilomètres de la Capitale N'Djamena où mon père travaillait comme agent des eaux et forets. J'étais très timide et très têtue mais assez brillant à l'école. Mon papa qualifiait mon caractère à un trouble lié à la puberté qu'il fallait corrigé avec de la chicotte. Cette théorie de mon père n'était pas vrai selon moi qui croyais pas à cette crise de puberté.Il me punissait durement et sévèrement. Dans notre famille, nous sommes cinq (5) enfants dont deux (2) garçon et trois filles.
Je suis quelqu'un qui décide de ce que je veux et personne ne peut me dicter ses principes. À l'age de 18 ans j'avais composé pour la première fois le baccalauréat série scientifique et j'avais connu l'échec, l'échec que mon père qualifiait la cause d'incapacité et amusement mais moi qui voyais toujours différente les chose poussais comme arguments l'enclavement de la localité, le manque des enseignants qualifiés et le manque des bibliothèques. Mon échec m'avait tellement traversé que je ne pouvais rester dans cette localité pour des jours encore. C'est ce qui m'avait tellement mis mal à l'aise et de plus le fait que mes amis qui étaient médiocres et dont leurs réputations étaient mauvaises à l'école vu leurs résultats trimestriels avaient décrocher le baccalauréat. Une semaine après cela, j'avais décidé de changer de milieu et mon choix était portée sur la capitale N'Djamena. Mon papa était d'avis avec moi et décidait que je parte rester avec son oncle. C'est ainsi que j'ai quitté la région pour le calvaire. Je suis venu resté avec un oncle pour qui je ne comptais pas du tout. Je fait trois à quatre kilomètre pour aller à mon école. Je ne trouve rien comme manger le matin et le soir à mon retours je passe quelques fois des nuit avec un ventre creux. De cela s'ajoute le poids des activité de la maison qui repose sur moi. Je suis le garçon qui me lève tôt et qui s'en dors toujours tard. A l'école je suis le seul garçon à venir toujours en retard et qui somnole en classe. Je ne cesse de me demander pourquoi ai-je laisser mes parents pour venir souffrir de la sorte? Pourquoi suis-je le seule à souffrir ainsi ?Je me réfère souvent à ma bible que je ne manquait de porter sur moi.La promesse faite dans Josué 1:9, je cite « Je t'ai donné cet ordre:Prends courage et tient bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer, car moi , l'Éternel ton Dieu, je serai avec toi pour tout ce que tu entreprendras ». Cette parole me réconfortais quand je perdais des espoir.
Quand les résultats du baccalauréat était affichés, j'étais a admis avec la mention bien avec une moyenne de 14,17 sur 20; Or par le passé tout ceux qui obtenaient le bac avec une moyenne supérieure ou égale à 12 bénéficiaient automatiquement des bourses d'études, mais ce n'était pas le cas à notre année. Tout ce qui avait reçu la bourse était les enfants des ceux qu'on appelle ‘Kibamba' signifiant riches.Ils sont à majorité les enfants de ceux qui travaillent au gouvernement. Pourquoi mon Dieu ? M'exclamais-je! Après cela j'avais passer au moins cinq concours des écoles professionnelle du pays mais aucun chance ne m'est sourie. Là j'ai décidé de déposer mes dossier pour être à l'université. J'avais déposé ma demande à l'université en Science Biologique et en Mathématiques. Malgré que j'avais 18 de moyenne en Biologie je n'étais pas retenu sur la liste.Il a fallu l'intervention d'un enseignant-chercheur de la faculté qui connaissait mon papa pour plaider ma cause. Selon lui il fallait mouiller les barbes ou donner un pot de vin pour être recruté.Là encore ce n'était que le début de mes souffrances.
L'université était à 20 km de là où je vivais et on partais quelques fois en bus estudiantin et de fois où je ne trouvais pas d'argent pour payer le transport je dormais à la faculté. Ma souffrance ne cessait de croître, là j'ai décidé d'aller habiter chez un oncle qui l'accepte aussi. Je fait deux ans avec lui tout en travaillant comme un esclave. Je me lève le matin pour laver sa voiture, nettoyer la cours, arroser les fleures et cirer ses chaussure. Je passais pour la deuxième année où j'ai fait le concours d'une école des Technologie de l'Information et j'obtiens le concours pour la filière Télécommunications. J'ai poursuivi ces deux formation situé l'un à 10 kilomètre de l'autre avec courage et espoir en dépit de tous les maux. A la préparation de mon soutenance en Télécommunication je devais passer un stage académique. Mon entreprise d'accueil du stage était à 20 Kilomètre de chez moi. C'étais à calvaire car je n'avais pas de moyen de déplacement ni de moyen nécessaire de payer les transports en commun. J'ai contacté une tante qui acceptais de m'héberger juste pour les deux mois prévu pour mon stage. J'avais passé deux moi chez cette dernière mais concrètement pour mon stage, au premier moi je n'avais pas trouver d'encadreur et il fallait encore augmenter un mois de plus. Ma tante qui avait accepté ma présence pour une durée de 2 deux mois refusais me mettais dehors juste à deux jours de plus de la durée accordée. Ne sachant quoi faire j'ai trouvé refuge dans mon école qui se trouvais à 7 km de mon lieu de stage. Là j'ai passé deux mois sans une provision, sans un équipement nécessaire pour la santé. Je dors sans moustiquaire et ne vis que par la grâce de Dieu comme le disait le monde. J'avais traversé de moment alarmants. Pendant tout ce temps personne de chez moi ne demandait de mes nouvelles, personne ne me donnait même un centimes. J'avais traversé les océans et les mers tout seul. Lors de mon soutenance, je n'étais que seule face au Jury, personne ne s'était présente. Si me parents étaient à la capitale ils n'allaient jamais me laisser seul. J'avais soutenu avec Mention bien ce jour là avec les larmes au yeux. Ce larme qui coulaient, beaucoup pensaient que c'était des émotions suite à ma note mais loin de là. C'était parce que j'étais seul, tout seul à soutenir. Durant mes séjours à l'école, j'ai rencontré un monsieur m'avait identifié. C'était un multimillionnaire habitant non loin de mon école. Il arrive vers moi.
— Bonsoir jeune homme, dit-il.
—Bonjour papa, ai-je répondu.
— Comment vas-tu ? Et tes cours ?
— Je lui ai répondu, Je vis par la grâce de Dieu et tout va bien.
— Je ne pense pas que tout vas bien chez toi, dit-il !
Qui est-il et que veut-il concrètement lui ?me suis-je dit intérieurement. Après un silence.
— Il dit, je t'ai remarqué depuis un certains temps que tu dors ici dans cette école, alors qu'est ce qui va pas?insistait-il. Il poursuit de dire, j'ai également traversé de moment pire et je vois la souffrance dans tes yeux.
Là, il me touchait profondément, il me dit mon fils, je sais que t'es un homme fort et je te dis une chose que tu dois graver dans la table de ton cœur pour partager avec tes enfants : ‘la vie est un combat, un combat où tous les coups sont permis' tu dois apprendre à faire la différence entre trois types de personnes : ‘les adhérents, les camarades et les confidents'. C'est ainsi qu'il m'a proposé un travail chez lui et j'ai accepté.