Dès le début de cette nouvelle, le mystère plane. Meurtres ou suicides ? Quel est le lien entre ces victimes ? L'atmosphère nébuleuse est rapidement posée, et au fil des lignes, ce polar joue de plus en plus à la frontière du fantastique. Un texte bien écrit, poétique et intriguant, qui va chercher l'imagination du lecteur.

Donald Ghautier
Ses œuvres publiées
Maddy
À la limite du fantastique, parfois, ce poème dresse un tableau aussi intrigant qu’émouvant. On la voit, cette scène, cet homme immergé, affligé, qui lance, aphone, un dernier cri de désespoir. C’est tragique, mais c’est beau aussi. Car le poète nous guide sans nous guider, balise son poème tout en nous laissant la liberté du chemin à parcourir. Et alors, chaque lecture est une nouvelle découverte, aussi forte que la précédente, mais toujours différente.
Aurélia
Il ne faut pas se fier aux apparences, paraît-il. Facile de croire en l’innocence d’une petite fille, retrouvée seule sur les lieux d’un crime atroce ; un enfant, ça ne peut pas faire ces choses-là, voyons. Un enfant, certes, mais… Puisqu’on vous dit de ne pas vous fier aux apparences…
Plus près
La fin du monde programmée, la planète évacuée... et si l'on décidait de rester sur Terre, pour ces derniers instants profiter des simples choses ? D'une science-fiction qui pourrait être dramatique, le lecteur prend plaisir à parcourir Paris désert, célébrer la fin d'année avec des mets savoureux, apprécier le bouquet final.