Dans ce très beau texte, tout est liquide, tout s’écoule lentement… De l’état de langueur, quasi dépressif, de la narratrice, au sport pratiqué – la natation -, jusqu’au décor et à ce plafond qui goûte lentement. Mais bien sûr, l’ensemble est aussi très joliment et soigneusement porté par le style, lui aussi dissolu, lent aqueux… Un combat pour ne pas se laisser emporter par le courant.
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Mélancolie
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