"Cela a duré une bonne minute. Une vraie minute. Une éternité." Au cœur de Port-au-Prince, une ville autrefois vibrante de vie et de couleurs, résonne désormais un sombre écho de douleur et de désespoir. Les rues sont devenues le théâtre d'une réalité cauchemardesque, où chaque pas est empreint de peurs et de souffrances. Les manifestations répétées ont transformé le paysage urbain en champ de bataille où les cris de colère et les slogans brûlent l'air, les pneus sont offerts en holocauste et de nombreuses vies humaines sont sacrifiées. Des pierres pleuvent et des bouteilles vides sont lancées à tout venant, afin que les divinités puissent trinquer à nos maux quotidiens.
Au milieu de cet ouragan, le visage marqué par la cruauté du monde, un homme, dont l'acte de naissance orale accuse BWA KALE, cherche à dévoiler les vérités cachées à travers les mots qui s'embrouillent dans son esprit tourmenté. Il est témoin oculaire des étoiles violées à fleur d'âge, des prostituées vendant leur corps en plein jour, de la famine qui ronge les estomacs affamés, des ordures qui insultent les narines du grand public, des balles qui dansent au bal des armes à feu illégales, des vagues incessantes de kidnappings venant des tréfonds du parlement, des entrailles de la bourgeoisie inhumaine et des stratèges occidentaux. Des crânes humains divorcent brutalement de leurs troncs, accord tranché par la lame impitoyable des machettes sanguinaires. Des violences inouïes violent l'âme de la cité, ainsi que des abus policiers infligés aux têtes boisées et aux fils du ghetto, dont la beauté est froissée, rongée, ciselée par la pauvreté avare.
La corruption, habillée en dentelle, rampe telle une bête insatiable, embellissant l'espoir des plus vulnérables avec les fleurs de l'enfer. Les meurtres se multiplient, laissant derrière eux des familles brisées, des vies écourtées dans l'indifférence totale ! L'irrespect estudiantin résonne comme un rappel amer de l'avenir volé, du destin incertain...
Combien d'Haïtiens se sont dirigés vers l'immigration ou les ambassades à la recherche d'une vie plus ou moins meilleure ? Et ceux qui traînaient par ci par là pour épouser le paradis terrestre ont épuisé leurs calculatrices mentales.
Chaque jour est empreint d'une peur omniprésente, enveloppant chaque habitant d'Haïti dans une angoisse étouffante. L'espérance de vie se réduit à une cruelle ironie, échappant à tous, alors que la vie est menacée à chaque coin de rue. La mort de la vie ! Les minutes s'étirent en une éternité de ténèbres atroces, où chaque seconde semble insupportable.
Pourtant, malgré cette nuit qui semble sans fin, BWA KALE garde l'aube dans son cœur. Telle une flamme vacillante dans la tempête, son esprit est nourri de l'espoir d'un avenir meilleur. Il refuse de se laisser ensevelir dans le chaos actuel, ni d'être converti comme les autres bibliothèques ambulantes par l'évangile de Joe Biden, ni d'être englouti par les démons qui hantent son pays, où les larmes de sang coulent à flot au regard perçant du banditisme.
Dans chaque mot qu'il couche sur le papier, il fait écho à la résistance de ceux qui refusent de se soumettre. Il souffle les cendres de l'espoir dans le vent, rappelant à tous que la lumière existe même dans les endroits les plus sombres. Son récit, tel un poème poignant, dépeint les horreurs, mais aussi les âmes intrépides qui se dressent contre l'adversité.
Dans chaque ligne, il tisse des fils invisibles d'unité, inspirant les cœurs meurtris à se lever, à se battre pour un avenir où l'amour triomphera de la haine, où la justice vaincra la corruption, où le changement, refrain sur tant de lèvres, balayera ce présent aux veines brûlantes et libérera le possible des barbelés de l'impossibilité. Cette fois-ci, la révolution réussira à déchirer le sommeil derrière ses paupières condamnées. Il répandra la graine de l'espoir, sachant qu'elle poussera un jour, malgré le sol aride.
Au milieu de cet ouragan, le visage marqué par la cruauté du monde, un homme, dont l'acte de naissance orale accuse BWA KALE, cherche à dévoiler les vérités cachées à travers les mots qui s'embrouillent dans son esprit tourmenté. Il est témoin oculaire des étoiles violées à fleur d'âge, des prostituées vendant leur corps en plein jour, de la famine qui ronge les estomacs affamés, des ordures qui insultent les narines du grand public, des balles qui dansent au bal des armes à feu illégales, des vagues incessantes de kidnappings venant des tréfonds du parlement, des entrailles de la bourgeoisie inhumaine et des stratèges occidentaux. Des crânes humains divorcent brutalement de leurs troncs, accord tranché par la lame impitoyable des machettes sanguinaires. Des violences inouïes violent l'âme de la cité, ainsi que des abus policiers infligés aux têtes boisées et aux fils du ghetto, dont la beauté est froissée, rongée, ciselée par la pauvreté avare.
La corruption, habillée en dentelle, rampe telle une bête insatiable, embellissant l'espoir des plus vulnérables avec les fleurs de l'enfer. Les meurtres se multiplient, laissant derrière eux des familles brisées, des vies écourtées dans l'indifférence totale ! L'irrespect estudiantin résonne comme un rappel amer de l'avenir volé, du destin incertain...
Combien d'Haïtiens se sont dirigés vers l'immigration ou les ambassades à la recherche d'une vie plus ou moins meilleure ? Et ceux qui traînaient par ci par là pour épouser le paradis terrestre ont épuisé leurs calculatrices mentales.
Chaque jour est empreint d'une peur omniprésente, enveloppant chaque habitant d'Haïti dans une angoisse étouffante. L'espérance de vie se réduit à une cruelle ironie, échappant à tous, alors que la vie est menacée à chaque coin de rue. La mort de la vie ! Les minutes s'étirent en une éternité de ténèbres atroces, où chaque seconde semble insupportable.
Pourtant, malgré cette nuit qui semble sans fin, BWA KALE garde l'aube dans son cœur. Telle une flamme vacillante dans la tempête, son esprit est nourri de l'espoir d'un avenir meilleur. Il refuse de se laisser ensevelir dans le chaos actuel, ni d'être converti comme les autres bibliothèques ambulantes par l'évangile de Joe Biden, ni d'être englouti par les démons qui hantent son pays, où les larmes de sang coulent à flot au regard perçant du banditisme.
Dans chaque mot qu'il couche sur le papier, il fait écho à la résistance de ceux qui refusent de se soumettre. Il souffle les cendres de l'espoir dans le vent, rappelant à tous que la lumière existe même dans les endroits les plus sombres. Son récit, tel un poème poignant, dépeint les horreurs, mais aussi les âmes intrépides qui se dressent contre l'adversité.
Dans chaque ligne, il tisse des fils invisibles d'unité, inspirant les cœurs meurtris à se lever, à se battre pour un avenir où l'amour triomphera de la haine, où la justice vaincra la corruption, où le changement, refrain sur tant de lèvres, balayera ce présent aux veines brûlantes et libérera le possible des barbelés de l'impossibilité. Cette fois-ci, la révolution réussira à déchirer le sommeil derrière ses paupières condamnées. Il répandra la graine de l'espoir, sachant qu'elle poussera un jour, malgré le sol aride.
Ainsi, BWA KALE porte en lui la lueur de l'aube, cette promesse de jours meilleurs qui guide ses pas. Et il marche dans les rues tortueuses et pluvieuses de Port-au-Prince, le cur battant, offrant aux autres la force de croire que : "Même dans l'obscurité la plus profonde, l'aurore finit par crever le ciel."