À l'hôpital

A l’hôpital, le Distributeur d’Histoires Courtes fait du bien. Média de diffusion original et souriant, il invite à la lecture. Et ce sont nos oeuvres qui distraient, détendent, font rêver, sourire, et rendent possible une vraie évasion. L'étude d'impact menée depuis 2023 avec le soutien du ministère de la Culture le confirme.

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Un vrai remède d’immersion et de sérénité

Les histoires offertes sont issues de notre fonds éditorial. Elles sont classées en diverses collections thématiques (constituées par notre équipe d’éditrices et d’éditeurs) : il y en a pour tous les publics et tous les âges. Et c'est vous qui choisissez les oeuvres que vous offrez, en fonction du profil et de l'âge de vos patients. 

Nous avons chargé l'IFOP d'effectuer une étude auprès des utilisateurs des Distributeurs d'Histoires Courtes. Par des entretiens en face-à-face avec 319 personnes. 96% les jugent originales et créatives, 93% affirment qu'elles leur apportent une bulle de détente et de sérénité, 83% les jugent immersives.

Et quand 97% des utilisateurs interrogés vous disent qu'il devrait y avoir plus de Distributeurs disponibles dans les hôpitaux et plus largement dans les lieux publics... vous pensez que vous avez raison de penser qu'il devrait y avoir plus de Distributeurs disponibles dans les hôpitaux et plus largement dans les lieux publics !

lecture à l'Hôpital
Etude Ifop

Un outil de médiation culturelle pour les professionnels et les bénévoles 

Le Distributeur d’Histoires Courtes est un levier d’action au service des associations et des fondations. Pour de nombreuses animations, complémentaires à celles figurant dans le programme Nouvelles de l’Hôpital : 

  • Animation d’ateliers d’écriture par des auteurs régionaux avec publication et partage des écrits dans les Distributeurs d’Histoires Courtes de l’hôpital 
  • Distribution d’histoires courtes dans les chambres et les services par des bénévoles et des jeunes en service civique
  • Intervention de comédiens pour des séances de lectures à voix haute en salle d’attente ou dans les chambres
  • Lectures en chambre (avec la fondation Art Explora) d’anecdotes autour de l’histoire de l’art

L’adhésion des équipes est forte

C’est aussi parce qu’il est simple à mettre en route et à faire fonctionner qu’il recueille facilement l’indispensable adhésion de l’ensemble de l’équipe hospitalière. Pour trois bonnes raisons : 

  • Pas de Wi-Fi, pas de câble : une prise électrique suffit
  • Plug-n-play, rien à configurer : il suffit de brancher... et de lire
  • Éco-responsable : papier certifié FSC, zéro gâchis (impression à la demande), zéro déchet (impression thermique, ni encre ni cartouche)

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lecture à l'Hôpital

Le témoignage des professionnels de santé


#1 Des zones d'attente à la radiothérapie

Nathalie Renvoisé, cheffe de projet à l'hôpital Gustave Roussy, s'occupe de l'accompagnement des patients pour les aider à traverser la période de maladie. Accueillir les DHC répond à la problématique du temps d'attente qui peut être anxiogène pour les patients.


"Tout ce qui soulage cette angoisse est important (même pour les soignants), et tout ce qui permet de s'évader est le bienvenu. Gustave Roussy a pu développer ce projet grâce à une subvention de la Fondation du Crédit Mutuel pour la lecture, qui leur a permis de passer de 2 à 6 DHC, installés en radiothérapie, en pédiatrie et dans différentes zones d’attente. Le DHC est un support à partir duquel on peut aller vers les patients."


#2 Urgences

Dr Fabien Brigant, médecin urgentiste à l'hôpital Saint-Antoine, un service dans lequel sont accueillis plus de 63000 patients chaque année.

"L'objectif était de pouvoir leur proposer de l'évasion en salle d'attente et ainsi diminuer la tension qui s'y accumule parfois. Le DHC, qui s'est avéré être la solution la plus adaptée !

Il y a une notion d'angoisse qui s'installe chez les personnes qui attendent aux urgences (patients et accompagnants), et ce stress peut monter très haut, à tel point que les premières minutes d'échange avec le soignant sont souvent plus axées sur ce sentiment que sur le symptôme qui a mené le patient aux urgences.

Pour le personnel soignant aussi, il y a du stress. Il fluctue tout au long de la journée de travail. Pouvoir se poser quelques minutes pour lire peut réduire ce niveau de stress et améliorer les conditions de travail."


#3 Chirurgie pédiatrique

Le Pr Raphaël Vialle est chef du service de Chirurgie orthopédique et réparatrice de l'enfant à l'hôpital Armand-Trousseau. Ce service prend en charge des enfants qui sont très souvent accompagnés par leurs deux parents.

"Il y a un vrai besoin de distraction et de temps de relâchement, où la pression redescend ; le personnel essaie d’être attentif à ce qu’il n’y ait pas de saturation psychique durant ce séjour. Le DHC fait partie des nombreuses soupapes qu’ils aiment avoir à portée de main pour apaiser le stress des parents : un parent stressé c'est un soignant stressé, et le service devient une cocotte-minute. Il faut aussi occuper les enfants qui s’ennuient avant et après les opérations.

L’hôpital a besoin d’humanité, le DHC est un produit qui fait du lien entre les soignants et les patients."


#4 Oncologie médicale

Le Pr Jean-Philippe Spano est chef du service oncologie médicale à l'APHP Sorbonne-Université, au sein du groupe Pitié-Salpêtrière, il dirige un service qui prend en charge des patients adultes atteints de cancers.

Il parle de l'importance des parcours de soins, et de la prise en charge de la qualité de vie des patients. Il a créé un espace bien-être au sein de ce service. Un DHC a été installé dans la salle d'attente pour permettre aux patients de s'évader et pourquoi pas oublier, un temps, qu’ils sont dans un service d'oncologie médicale.

"La culture doit faire partie de notre vie ; il faut tout promulguer à ces patients pour qu'ils puissent continuer à vivre. Cela passe par de l'art-thérapie, des ateliers d'écriture, et la mise à disposition des histoires courtes."