Une journée régulière

Moi je suis différent. Je l'ai toujours été. Pour ma mère, c'est comme si j'étais un extra-terrestre. Elle est une femme vraiment exigente avec mon frère et moi, elle a travaillé toute sa vie pour que nous puissions avoir une bonne future. On n'a pas de père, on ne l'a jamais connu parce qu'il nous a abandonnés il y a 16 ans. Cependant, comme une journée régulière á Soacha, c'est normal.
Le matin sentait à chocolat et œufs au plat, délicieux en fait. La lumière du soleil qui sort de la fenêtre m'accueille, mais l'odeur me lève. Mon estomac rugit fortement car il est l'heure de manger. Je marche à la cuisine pour voir ma mère et elle me sourit forcément. « Bonjour » je dis. Ma mère commence à servir notre petit déjeuner et je me sens vraiment tout excité. Enfin ! on va manger. Néanmoins, sans m'en rendre compte, elle commence à pleurer.
- « Mon fils » ses larmes et pleur asphyxié sont incontrôlables. Je ne sais pas ce qui se passe maintenant, mais sa peine m'a laissé sans faim. Je m'approche d'elle pour nous regarder dans les yeux lesquels étaient injecté de sang. Elle souffre de rancœur, je peux le sentir bien.
- « Maman, j'suis ici » Je dis.
A ce moment-là, une femme du même âge arrive chez nous.
- « Ana, on y va » ma mère ouvre les yeux rouges.
- « Oui ? » elle commence à trembler de peur.
- « Oui, je crois » Ma mère mets un châle marron et grande
- « Attends-moi, Carmencita. Lucas attendez ici, okay ? » Elles sortent chez nous et je me trouve seul encore une fois dans notre grande maison laquelle semblait toute vide.
Il est difficile de savoir ce qui se passe avec ma mère. En fait, elle ne m'a pas salué ce matin. Elle ne me dit rien depuis le voyage de mon frère eux Etats-Unis. Lui, « Le favori » de la famille.
Ce jour, à l'école, il semble que tous les étudiants me détestent, le rejet de mes camarades m'aveugle au moment d'avoir un pied dans l'école, une souffrance éternelle. Quelque fois, je trouve des notes dans mon bureau comme « sale pédé » ou « Immonde guérillero » seulement des insultes lesquels n'ont pas du sens. La solitude chez moi et à l'école sont un peu identiques, mais au moins les élèves me parle ainsi soit-il pour m'insulter. Ma mère me déteste encore pire.
Ce même jour régulier à l'école, je suis sorti dans la cour de récréation avec mes camarades. Comme toujours tout seul. Mais une fille très jolie m'a salué et elle m'a dit de m'approcher d'elle, je m'approche pour qu'elle donne un papier.
- « Je m'appelle Jessica » elle dit.
- « Ah » son regard hypnotisant m'a attrapé totalement. Mais, avant que je puisse me présenter, en un clin d'œil, elle s'éloignée à sa classe. Une fois chez moi, j'ouvre le papier lequel était un peu ridé, mais l'odeur était identique à celle de la jolie fille que je ne peux pas oublier. Je l'ai lu, ça m'a fait rougir, me joues brulaient fortement, j'étais tout excité. « On va nous rencontrer a 21heure et demi » c'est ne pas possible. C'est un rêve, peut-être que toute le monde ne me déteste pas.
- « Maman, maman ! ¡j'ai un rendez-vous amoureux ! » Ma mère restait dans sa chambre
- « Ah ? » elle dit déconnectée
- « Oui Maman, une fille qui s'appelle Jessica veut que je sois son petit ami. Elle m'a donné un papier pour que nous puissions nous voir ce soir à 21 heure »
- « Tu ne peux pas sortir, Lucas » elle dit.
- « Mais je veux la voir, elle est vraiment jolie »
- « Lucas les nouvelles disent qu'il est dangereux de sortir, vous devez sortir un autre jour, pas cette nuit » ma mère ordonne « d'accord ? » Mes mains étaient rouges de les serrer à cause du ressentiment qui bouille dans mon corps, la rancœur croissais et croissais petit à petit.
- « Quel sera le jour que je puisse être ton favori ? » j'ai demandé
- « Quoi ? oh mon dieu... »
- « Tu me détestes, mon frère n'est plus ici, il a quitté le nid ! » elle éclate à pleurs « Mais tu ne l'accepte pas. Est-ce que je ne suis pas suffisant pour toi ? toutes les putains matins de ma vie sans être salué ou félicité pour quelque chose, je suis emmerdé de toi » Je me suis échappé de chez moi, je déteste ma mère, elle me déteste, j'suis pas suffisant pour elle, seulement l'imbécile de mon frère, je les déteste. Je m'en fou de cette vie et ma famille, je voulais seulement amour. Ce n'est pas difficile à donner. Sans direction, mes jambes me dirigent au lieu dans lequel je puisse oublier tout ma misérable vie, où l'unique chose qui a été là pour moi tout ce temp, est la solitude, puisse m'accompagner et garder de ceux qui causes des dommages.
« Lucas ! » j'écoute sa craquante voix « je suis ici » je vois sa main levée, très délicate « Coucou Lucas, je croyais que tu n'allais pas arriver »
« Désolé, j'ai une imprévu »
« Ça va, je voudrais te montrer quelque chose » malgré la tristesse portée, elle me fait souris. On marche aux banlieues de la communauté pour voir les étoiles, un moment je suis rempli de tranquillité, la nuit était seulement magnifique. Nous nous sentons dans une petite colline proche d'un arbre afin de parler plus tranquillement « Je voudrais savoir quelle était ton imprévu c'est possible ? »
« Eh...oui, je me suis disputé avec ma mère, elle adore mon frère, mais elle me déteste » j'ai avoué
« Je comprends, bon, j'habite avec mon père et il est difficile aussi. Pourtant, je suis fière de lui, il travaille pour défendre notre pays, il est une personne de bien »
« Je voudrais dire ça, mais ma mère est seulement une femme qui ne s'occupe pas de son fils, elle sort toujours avec d'autres femmes pour cancaner »
« Ne t'inquiète pas, vous devez parler » il est facile de dire, mais je ne veux pas parler avec elle, j'ai déjà essayé de faire ça.
« Oui » j'ai parlé moins fort. Après avoir un soupir profond, mon regarde se dirige à l'herbe, sèche et raide a causé être exposée au soleil, piétinée, oubliée. Le sentiment est partagé. Néanmoins, plus en avant il y a une figure bizarre. « Jessica, est-ce que tu peux voir ça ? » elle commence à regarder la direction indiquée par moi.
« Mmm, je ne vois rien »
« Oui, regarde bien ! » je descends de la colline pour m'approcher de la bizarre figure. Jessica sui mes pas. On peut voir une pile des figures lesquelles étaient couvertes par un tissu blanc large. Les objets sous du tissu étaient volumineux. « Regarde, il y a deux bottes » les bottes semblaient de boucher pleins de boue. On a perçu une odeur très désagréable qui provient de ces objets.
« C'est des vêtements vieux, je ne veux plus être ici » ce ne sont pas des vêtements. J'essaye d'enlever le tissu afin de découvrir ce qui était là.
« Hey ! vous morveux ! » un homme nous cri
« Papa ! » Jessica est surprise « Qu'est-ce que tu fais ici ? »
« Je vous demande ça, sortez d'ici ! vous ne devez pas être dans un lieu comme celui-ci » il nous ordonne, on n'a pu rien voir. C'était vraiment bizarre.
« Papa, c'est quoi ça ? » Jessica demande afin de lever le doute
« Vous ne devez pas être ici » il demande
« Mais, papa... »
« Vous ne devez pas être ici, j'ai dit » il demande
« Ces sont des personnes, non ? » j'ai dit sans le penser et l'homme militaire soupire
« Ces sont des personnes mauvais » il dit « Ces sont guérilleros qui voulaient s'infiltrer ici » Jessica et moi pâlichons d'écouter ce terrible événement « On y va Jessica, et toi garçon, je ne veux pas te voir ici, d'accord ? Allez ! chez toi » j'étais horrifié et pétrifié. Une réalité est inondée dans ma tête, on était proche de ceux qui sont dangereux pour notre société, je dois garder ma mère. Un fois Jessica et son père disparaissent là, j'avais encore la curiosité de voir les corps de ces personnes. Je m'échappe de leur chemin pour retourner au pâturage où se trouvent les corps.
« Antoine, tout le monde savait..., ma mère le savait, les élèves à l'école le savaient... » Mais mois..., c'est pour cela que je suis seul, je l'ai toujours été, seulement comment un extraterrestre. Soudain, une espèce du son qui semblait aux hélicoptères a commencé á retenir mes ouïes...