Par la vitre du train de nuit

Par la vitre du train de nuit

Des taches blanches

Fleurs de prunier ?

 

°

Dans l’air vibre la corde

Silence tendu silence rompu

Chute mate d’une fleur de camélia

 

°

Riant de son inutilité

Le luffa

s’étire

A n’en plus finir