Ô entre tes beautés, que ta constance est belle
Ô entre tes beautés, que ta constance est belle.
C’est ce cœur assuré, ce courage constant,
C’est parmi tes vertus, ce que l’on prise tant :
Aussi qu’est-il plus beau, qu’une amitié fidèle ?
Or ne charge donc rien de ta sœur infidèle,
De Vézère ta sœur : elle va s’écartant
Toujours flottant mal sûre en son cours inconstant.
Vois-tu comme à leur gré les vents se jouent d’elle ?
Et ne te repens point pour droit de ton aînage
D’avoir déjà choisi la constance en partage.
Même race porta l’amitié souveraine
Des bons jumeaux, desquels l’un à l’autre départ
Du ciel et de l’enfer la moitié de sa part,
Et l’amour diffamé de la trop belle Hélène.
C’est ce cœur assuré, ce courage constant,
C’est parmi tes vertus, ce que l’on prise tant :
Aussi qu’est-il plus beau, qu’une amitié fidèle ?
Or ne charge donc rien de ta sœur infidèle,
De Vézère ta sœur : elle va s’écartant
Toujours flottant mal sûre en son cours inconstant.
Vois-tu comme à leur gré les vents se jouent d’elle ?
Et ne te repens point pour droit de ton aînage
D’avoir déjà choisi la constance en partage.
Même race porta l’amitié souveraine
Des bons jumeaux, desquels l’un à l’autre départ
Du ciel et de l’enfer la moitié de sa part,
Et l’amour diffamé de la trop belle Hélène.