Ni les honneurs d’une richesse orine
Ni les honneurs d’une richesse orine,
Ni les parfums des odorantes fleurs,
Ni le printemps des champêtres couleurs,
Ni les blancheurs de colonne ivoirine,
Ni les appas de grâce nectarine,
Ni les attraits des rosines douceurs,
Ni le doux chant des trois pipeuses sœurs,
Ni les odeurs de bouche Cinabrine,
Ni les projets par fol amour tracés,
Ni le fin or des crêpillons lacés,
Ni le beau ciel d’une excellence Claire,
Ni les rayons des astres gracieux,
Ont ébloui par leur lustre mes yeux :
Mais la vertu, qui aussi les éclaire.
Ni les parfums des odorantes fleurs,
Ni le printemps des champêtres couleurs,
Ni les blancheurs de colonne ivoirine,
Ni les appas de grâce nectarine,
Ni les attraits des rosines douceurs,
Ni le doux chant des trois pipeuses sœurs,
Ni les odeurs de bouche Cinabrine,
Ni les projets par fol amour tracés,
Ni le fin or des crêpillons lacés,
Ni le beau ciel d’une excellence Claire,
Ni les rayons des astres gracieux,
Ont ébloui par leur lustre mes yeux :
Mais la vertu, qui aussi les éclaire.