Nouvelles
2 min
École Supérieure de Technologie et de Management
Le sens de ma vie
Moi je suis différent. Je l'ai toujours été. Pour ma mère, c'est comme si j'étais un extra-terrestre. Elle me regarde comme un inconnu ou encore pire.
Je ne sais pas ce que j'ai fait pour être différent de ce monde. Moi même je cherche, je cherche à me comprendre pour entrer dans votre monde plein de mystère. Suis-je un mort parmi les vivants ou un vivant parmi les morts.
La vie est parfois détestable et moi au bout du souffle de la mort car ma mère ne veut plus de moi, pour elle, je devais ne pas naître, ou même disparaître car elle me dit et elle me répète sans cesse que je suis son "natou adouna" . Un bébé adorable j'étais, un adulte ***, ce changement catastrophique le bouleverse.
La vie m'a détesté depuis ma naissance, on me voit différent car leur regard me juge.
J'ose me demander si c'est DIEU qui est injuste en me faisant naître dans un monde qui ne me comprenne pas ou c'est la société qui l'est en essayant de ne pas me comprendre et en me marginant.
Suis-je trop intelligent ou trop bête pour paraître différent dès qu'on pose le regard sur moi.
Mon nom, j'ai tendance à l'oublier car tout le monde m'appelle "l'homme mystère". À quand serais-je comme les autres. Mon seul ami s'appelle solitude, le seul à me comprendre avec des larmes aux yeux, le cœur vide d'amour.
J'ai envie d'être moi, d'être ce que je suis ou plutôt d'être qui je suis. Alors à ce monde qui me voit si différent, laissez moi être l'homme que je suis.
Comme Martin Luther King, je peux rêver, tailler dans la montagne du désespoir, une pierre d'espoir et que le monde me comprenne.
Moi je suis différent, car on me voit toujours avec mille feuilles, un crayon et une gomme. Pour eux "mon tout ne va pas " car j'aime décrire le monde des merveilles où le bien prend toujours le dessus et où la vérité seule triomphe. Oui ce monde où j'aimerai vivre pour échapper à toute cette peine, cette rancune, cette arrogance et recevoir tant d'amour, d'affection, de solidarité et de partage
Je me confie d'abord à moi-même, à vous et à toute la société. Alors si vous me jugez, c'est parce que l'humanité est morte. Je parle pour moi et à tous mes semblables marginalisé par la société, on vous dit que nous aussi nous en faisons parti et nous méritons un tout petit peu " LE BONHEUR "
Je ne sais pas ce que j'ai fait pour être différent de ce monde. Moi même je cherche, je cherche à me comprendre pour entrer dans votre monde plein de mystère. Suis-je un mort parmi les vivants ou un vivant parmi les morts.
La vie est parfois détestable et moi au bout du souffle de la mort car ma mère ne veut plus de moi, pour elle, je devais ne pas naître, ou même disparaître car elle me dit et elle me répète sans cesse que je suis son "natou adouna" . Un bébé adorable j'étais, un adulte ***, ce changement catastrophique le bouleverse.
La vie m'a détesté depuis ma naissance, on me voit différent car leur regard me juge.
J'ose me demander si c'est DIEU qui est injuste en me faisant naître dans un monde qui ne me comprenne pas ou c'est la société qui l'est en essayant de ne pas me comprendre et en me marginant.
Suis-je trop intelligent ou trop bête pour paraître différent dès qu'on pose le regard sur moi.
Mon nom, j'ai tendance à l'oublier car tout le monde m'appelle "l'homme mystère". À quand serais-je comme les autres. Mon seul ami s'appelle solitude, le seul à me comprendre avec des larmes aux yeux, le cœur vide d'amour.
J'ai envie d'être moi, d'être ce que je suis ou plutôt d'être qui je suis. Alors à ce monde qui me voit si différent, laissez moi être l'homme que je suis.
Comme Martin Luther King, je peux rêver, tailler dans la montagne du désespoir, une pierre d'espoir et que le monde me comprenne.
Moi je suis différent, car on me voit toujours avec mille feuilles, un crayon et une gomme. Pour eux "mon tout ne va pas " car j'aime décrire le monde des merveilles où le bien prend toujours le dessus et où la vérité seule triomphe. Oui ce monde où j'aimerai vivre pour échapper à toute cette peine, cette rancune, cette arrogance et recevoir tant d'amour, d'affection, de solidarité et de partage
Je me confie d'abord à moi-même, à vous et à toute la société. Alors si vous me jugez, c'est parce que l'humanité est morte. Je parle pour moi et à tous mes semblables marginalisé par la société, on vous dit que nous aussi nous en faisons parti et nous méritons un tout petit peu " LE BONHEUR "