Moi je suis différent. Je l'ai toujours été. Pour ma mère, c'est comme si j'étais un extra-terrestre.
Et dans cette différence, j'ai souvent mal compris : par mes paires, mes proches, mes chères. C'est comme si mon état de fait, que moi je n'ai choisi, qui m'est si chaire, m'est donné de naissance, à Dieu seul le sait, n'était pas normal.
Des regards de travers. Des paroles mauvaises : plein d'obstenités plein de moqueries, de jugements d'étiquettes, sont depuis toujours des qualificatifs, non pas que j'ai choisi, qui m'ont établis.
J'ai couvert de la honte, de l'abomination, de la haine, de souffrance.
J'ai subi la violence. Des paroles amères, tranchants, qui me fents le coeur.
Fils, dit ma mère : nous vivons dans un monde cruel. À l'ordre social établit, on connaîtrait toujours le rejet. Reconnaît le, accepter le, même si tu n'est pas d'accord. Protège donc ta vie mentale, ne laisse pas des propos malveillants te plongent dans la dissonance, dans la dépression. Sache donc, moi, je t'accepte comme tu es. N'oublie pas les paroles de ton père: vivre est plus gracieuse et luxieuse que de s'allonger s'emboîter, s'enfermer et être cloîtré sous la terre, à l'abri des vivants, dans l'obscurité éternel.
N'écoute point ce qu'ils disent, ajoute-t-elle, vit ta vie. Tu es toi. Tu n'es point ce que disent les autres. Leurs discours malsains envers toi ne devraient pour toi avoir aucune valeur.
Ainsi de suite, depuis l'enfance, mes instants de vie, de survie, de cries, de pleures, de peurs sont tous réels. L'intimidation, discrimination, toujours les mêmes.
Hé toi, dis l'amie, que diable est cruel! Dieu dans sa bonté et de sa beauté, fais ce qui est bon et ce qui est beau. Ne dit pas qu'il crée l'homme à son image? Laid que tu soit, tous le perçoivent, de sa ressemblance toi non je le vois.
Vous, dit le prof, ma professeure de CP, Classe Préscolaire, vous êtes laid. .. tous appellent par leur nom, mais moi on m'appelle individu.
Dans les autres classes précédentes, si on me continuera à traiter de diforme mais on me voit aussi comme étant extra-terrestre et surhumain
Ne dit donc pas que Dieu dans son amour de donne pas deux peines à la fois. Il m'a bien recouvert de sa bonté, de sagesse et d'intelligence. Mes sens sont si bien éguisés, toutes les informations qui rentrent sont codées de manière ordonnés de façon à ne point oublié. Je comprends tout ce que l'on fait. Je peux refaire et reproduire ce que l'on m'a appris avec aisance et créativité. A l'école toujours premier, de premier à la terminale. J'ai toujours une avance sur mes collègues.
Des temps sont passés, aujourd'hui j'ai grandi, j'ai jeuni, pas de taille, car physiquement je reste tout bas. Toujours soit-t-il, avec toutes ces barbes et moustaches on m'appelle bout homme, petit homme. Nain. Minus. Hobbit. Mais pourquoi pas tout simplement homme?
Mes crises de colère sont parfois très cruels que je deviens tout rouge à bout de souffle. Mais me rappelant les paroles de ma mère et de mon père je me calmait.
Maintenant, comme tout autre j'ai des envies, je l'ai voulu, et je l'ai vu. Elle était tout près de moi, si belle si splendide, j'admire ses corpulences, ses sourires, ses styles. ..
Si dans la longueur elle fait trente et une mètres, moi je ferais dix ou moins. Mais chronologiquement nous sommes tous pareils. Des jours nous séparent, mais sommes nées le même mois la même année.
Hé femme, dis-je, que je t'admire tant! Point de péché de déclarer ma flamme, pour une femme que tant d'hommes voulaient avoir. Que chaque mâle souhaiterait bien avoir comme compagne comme femelle. Pour vivre ensemble et mettre au monde de jolies filles de jolies fils.
Devant ce miroir je n'ai vois que moi, plein de confiance en train de répéter ces belles phrases. Des paroles d'amour. Des mots que je n'ai le courage dans la réalité de se prononcer. J'ai peur, peur de sa réaction, peur d'abandon et de rejet. Et même encore plus peur pour ne pas couvert de honte juste au bon vouloir d'exprimer mes charmes à quelqu'un qui me fait bat le coeur. Quelqu'un que j'aime. Que j'admire. Qu'importe la réponse, désormais je l'accepterai car l'important c'est de dire ce que je pense, de me verbaliser, d'exprimer mes émotions, mes sentiments...
Et dans cette différence, j'ai souvent mal compris : par mes paires, mes proches, mes chères. C'est comme si mon état de fait, que moi je n'ai choisi, qui m'est si chaire, m'est donné de naissance, à Dieu seul le sait, n'était pas normal.
Des regards de travers. Des paroles mauvaises : plein d'obstenités plein de moqueries, de jugements d'étiquettes, sont depuis toujours des qualificatifs, non pas que j'ai choisi, qui m'ont établis.
J'ai couvert de la honte, de l'abomination, de la haine, de souffrance.
J'ai subi la violence. Des paroles amères, tranchants, qui me fents le coeur.
Fils, dit ma mère : nous vivons dans un monde cruel. À l'ordre social établit, on connaîtrait toujours le rejet. Reconnaît le, accepter le, même si tu n'est pas d'accord. Protège donc ta vie mentale, ne laisse pas des propos malveillants te plongent dans la dissonance, dans la dépression. Sache donc, moi, je t'accepte comme tu es. N'oublie pas les paroles de ton père: vivre est plus gracieuse et luxieuse que de s'allonger s'emboîter, s'enfermer et être cloîtré sous la terre, à l'abri des vivants, dans l'obscurité éternel.
N'écoute point ce qu'ils disent, ajoute-t-elle, vit ta vie. Tu es toi. Tu n'es point ce que disent les autres. Leurs discours malsains envers toi ne devraient pour toi avoir aucune valeur.
Ainsi de suite, depuis l'enfance, mes instants de vie, de survie, de cries, de pleures, de peurs sont tous réels. L'intimidation, discrimination, toujours les mêmes.
Hé toi, dis l'amie, que diable est cruel! Dieu dans sa bonté et de sa beauté, fais ce qui est bon et ce qui est beau. Ne dit pas qu'il crée l'homme à son image? Laid que tu soit, tous le perçoivent, de sa ressemblance toi non je le vois.
Vous, dit le prof, ma professeure de CP, Classe Préscolaire, vous êtes laid. .. tous appellent par leur nom, mais moi on m'appelle individu.
Dans les autres classes précédentes, si on me continuera à traiter de diforme mais on me voit aussi comme étant extra-terrestre et surhumain
Ne dit donc pas que Dieu dans son amour de donne pas deux peines à la fois. Il m'a bien recouvert de sa bonté, de sagesse et d'intelligence. Mes sens sont si bien éguisés, toutes les informations qui rentrent sont codées de manière ordonnés de façon à ne point oublié. Je comprends tout ce que l'on fait. Je peux refaire et reproduire ce que l'on m'a appris avec aisance et créativité. A l'école toujours premier, de premier à la terminale. J'ai toujours une avance sur mes collègues.
Des temps sont passés, aujourd'hui j'ai grandi, j'ai jeuni, pas de taille, car physiquement je reste tout bas. Toujours soit-t-il, avec toutes ces barbes et moustaches on m'appelle bout homme, petit homme. Nain. Minus. Hobbit. Mais pourquoi pas tout simplement homme?
Mes crises de colère sont parfois très cruels que je deviens tout rouge à bout de souffle. Mais me rappelant les paroles de ma mère et de mon père je me calmait.
Maintenant, comme tout autre j'ai des envies, je l'ai voulu, et je l'ai vu. Elle était tout près de moi, si belle si splendide, j'admire ses corpulences, ses sourires, ses styles. ..
Si dans la longueur elle fait trente et une mètres, moi je ferais dix ou moins. Mais chronologiquement nous sommes tous pareils. Des jours nous séparent, mais sommes nées le même mois la même année.
Hé femme, dis-je, que je t'admire tant! Point de péché de déclarer ma flamme, pour une femme que tant d'hommes voulaient avoir. Que chaque mâle souhaiterait bien avoir comme compagne comme femelle. Pour vivre ensemble et mettre au monde de jolies filles de jolies fils.
Devant ce miroir je n'ai vois que moi, plein de confiance en train de répéter ces belles phrases. Des paroles d'amour. Des mots que je n'ai le courage dans la réalité de se prononcer. J'ai peur, peur de sa réaction, peur d'abandon et de rejet. Et même encore plus peur pour ne pas couvert de honte juste au bon vouloir d'exprimer mes charmes à quelqu'un qui me fait bat le coeur. Quelqu'un que j'aime. Que j'admire. Qu'importe la réponse, désormais je l'accepterai car l'important c'est de dire ce que je pense, de me verbaliser, d'exprimer mes émotions, mes sentiments...